La prostitution au Sénégal, comme partout ailleurs, est le plus vieux métier du monde. Mais un nouveau phénomène prend de l’ampleur, celui de la prostitution des Mannequins ou Vidéo-girls. Ces dernières ont investi le créneau et vendent leurs charmes en toute impunité, aidées pour élargir leur terrain de chasse, par les réseaux sociaux et les restaurants, agences de Mannequinat, bars, lobbies d’hôtels. Les plus effrontées racolent en direct dans les lieux publics ou via les téléphones mobiles qui restent les meilleurs moyens de s’assurer une clientèle aisée.
Il est impossible donc de repérer la prostitution clandestine au Sénégal. «Non, je ne suis pas une prostituée», martèlent-elles toutes le plus souvent. Les prostituées, selon elles, se «ramassent» dans la rue. Elles dépendent souvent d’un proxénète qui les maltraite et prend leurs gains en ne leur laissant qu’une infime partie. Elles travaillent pour survivre, ces sénégalaises qui se prostituent préfèrent être appelées Mannequins ou Vidéo-girls. Elles travaillent à leur propre compte. Elles collaborent, parfois, avec des agences de mannequins, qui, sous ce prétexte, leur assurent une clientèle régulière au Sénégal et à l’étranger. Comment racolent-elles? En interpellant directement des hommes dans les lieux publics, restaurants, plages, bars, lobbies d’hôtels… en veillant bien sûr à fréquenter des endroits où se prélassent les potentiels clients aisés, très aisés. Elles draguent aussi via les téléphones mobiles - leur logique est convaincante, il fallait seulement y penser- elles choisissent des numéros VIP et tentent leur chance. Ce qui est sûr, c’est qu’elles ne parlent jamais d’argent au téléphone, mesures de précaution obligent. Autre moyen d’attirer la clientèle, la Toile. Il faut dire que la révolution Internet est passée par là . Grâce aux réseaux sociaux et à divers moyens de communication. Ces filles sont souvent des «occasionnelles», dans le sens où elles travaillent à leur propre rythme et évitent la régularité pour ne pas attirer l’attention. Elles changent donc d’endroits et de look. Les plus futées préfèrent ne pas faire partie d’un quelconque réseau, mannequinat ou autre. Les prix sont fixés à l’avance et il est rare qu’elles soient arnaquées. Les raisons qui les poussent à se prostituer? Arrondir les fins de mois, mais aussi s’offrir l’argent nécessaire pour vivre dans le luxe. Les plus ambitieuses et les plus futées espèrent avoir recours à la prostitution le temps de réaliser un projet qui leur assurera des revenus fixes sans qu’elles n’aient à se tracasser pour l’avenir. Moins réalistes, certaines espèrent, dans le meilleur des cas, mettre le grappin sur l’un de ces riches clients. Certaines souhaitent tout simplement mettre du piment dans leur vie et mener une existence facile.
Il est impossible donc de repérer la prostitution clandestine au Sénégal. «Non, je ne suis pas une prostituée», martèlent-elles toutes le plus souvent. Les prostituées, selon elles, se «ramassent» dans la rue. Elles dépendent souvent d’un proxénète qui les maltraite et prend leurs gains en ne leur laissant qu’une infime partie. Elles travaillent pour survivre, ces sénégalaises qui se prostituent préfèrent être appelées Mannequins ou Vidéo-girls. Elles travaillent à leur propre compte. Elles collaborent, parfois, avec des agences de mannequins, qui, sous ce prétexte, leur assurent une clientèle régulière au Sénégal et à l’étranger. Comment racolent-elles? En interpellant directement des hommes dans les lieux publics, restaurants, plages, bars, lobbies d’hôtels… en veillant bien sûr à fréquenter des endroits où se prélassent les potentiels clients aisés, très aisés. Elles draguent aussi via les téléphones mobiles - leur logique est convaincante, il fallait seulement y penser- elles choisissent des numéros VIP et tentent leur chance. Ce qui est sûr, c’est qu’elles ne parlent jamais d’argent au téléphone, mesures de précaution obligent. Autre moyen d’attirer la clientèle, la Toile. Il faut dire que la révolution Internet est passée par là . Grâce aux réseaux sociaux et à divers moyens de communication. Ces filles sont souvent des «occasionnelles», dans le sens où elles travaillent à leur propre rythme et évitent la régularité pour ne pas attirer l’attention. Elles changent donc d’endroits et de look. Les plus futées préfèrent ne pas faire partie d’un quelconque réseau, mannequinat ou autre. Les prix sont fixés à l’avance et il est rare qu’elles soient arnaquées. Les raisons qui les poussent à se prostituer? Arrondir les fins de mois, mais aussi s’offrir l’argent nécessaire pour vivre dans le luxe. Les plus ambitieuses et les plus futées espèrent avoir recours à la prostitution le temps de réaliser un projet qui leur assurera des revenus fixes sans qu’elles n’aient à se tracasser pour l’avenir. Moins réalistes, certaines espèrent, dans le meilleur des cas, mettre le grappin sur l’un de ces riches clients. Certaines souhaitent tout simplement mettre du piment dans leur vie et mener une existence facile.