Le Sénégal vit une situation particulièrement délicate marquée de violentes manifestations à la suite de l’arrestation du leader du Pastef, Ousmane Sonko. Ce qui s’est soldé par des pertes en vie humaine, des pillages de grande surface, de stations de service et de banques. Cette situation a fait sortir de sa réserve l des Forces de Progrès (Afp).
Dans une déclaration parvenue à «L’As», Moustapha Niasse et ses camarades estiment qu’un fait divers, par le biais de la communication et d’actes posés, a eu un impact national, avec son cortège de faits de violence inédits dans notre pays.
«La situation appelle une appréhension collective et aiguë des enjeux et des priorités de notre pays, dans un environnement sous-régional et international lourd de menaces», clament les progressistes qui considèrent que le malaise social et le mal-être ne devraient encourager aucun patriote à saper les fondements de notre Nation et de notre cohésion sociale.
«Il impose donc la sauvegarde de cette sur-priorité que sont la stabilité et la paix civile, sans préjudice de l’autorité de l’Etat. C’est là le paravent sans lequel notre pays et ses populations s’installeraient dans le danger», soutiennent Moustapha Niasse et Cie.
D’autant qu’ajoutent-ils, la permanence de la sécurité des symboles de l’Etat et celle des biens et des personnes doivent être garanties.
Par conséquent, les progressistes demandent que «les instigateurs et les auteurs d’actes criminels doivent donc être poursuivis, conformément aux lois et règlements de notre pays. Car force doit rester à la loi et les Institutions de la République doivent être respectées par tous les citoyens».
Trouvant que la gestion de la situation devrait avoir comme soubassement l’apaisement et la paix des coeurs, les responsables de l’Afp pensent que la démocratie est d’abord un dérivé d’un consensus des composantes d’une nation autour d’aspirations légitimes, dont la paix et la cohésion sociale sont les bases adamantines et pérennes
L’As
Dans une déclaration parvenue à «L’As», Moustapha Niasse et ses camarades estiment qu’un fait divers, par le biais de la communication et d’actes posés, a eu un impact national, avec son cortège de faits de violence inédits dans notre pays.
«La situation appelle une appréhension collective et aiguë des enjeux et des priorités de notre pays, dans un environnement sous-régional et international lourd de menaces», clament les progressistes qui considèrent que le malaise social et le mal-être ne devraient encourager aucun patriote à saper les fondements de notre Nation et de notre cohésion sociale.
«Il impose donc la sauvegarde de cette sur-priorité que sont la stabilité et la paix civile, sans préjudice de l’autorité de l’Etat. C’est là le paravent sans lequel notre pays et ses populations s’installeraient dans le danger», soutiennent Moustapha Niasse et Cie.
D’autant qu’ajoutent-ils, la permanence de la sécurité des symboles de l’Etat et celle des biens et des personnes doivent être garanties.
Par conséquent, les progressistes demandent que «les instigateurs et les auteurs d’actes criminels doivent donc être poursuivis, conformément aux lois et règlements de notre pays. Car force doit rester à la loi et les Institutions de la République doivent être respectées par tous les citoyens».
Trouvant que la gestion de la situation devrait avoir comme soubassement l’apaisement et la paix des coeurs, les responsables de l’Afp pensent que la démocratie est d’abord un dérivé d’un consensus des composantes d’une nation autour d’aspirations légitimes, dont la paix et la cohésion sociale sont les bases adamantines et pérennes
L’As