Sur la motivation de l'opposition à voter "Non" au référendum en se focalisant uniquement sur la réduction du mandat présidentiel alors qu'il y a 14 autres points à prendre en compte, Mamour Cissé déclare : "Il faut savoir qui se focalise uniquement sur la réduction du mandat et qui croit y trouver son intérêt. Certainement, ce sont les porteurs du "Non" ! C'est leur stratégie de lâcher volontairement la proie pour l'ombre et de tenter de brouiller les pistes. C'est dommage pour l'intérêt national, pour notre démocratie et notre République, en ces heures historiques. Au-delà des calculs politiciens et d'une adversité primaire, l'analyse objective des points de révision aurait dû nous rassembler tous parce que leur caractère progressiste, aux yeux de toute personne de bonne foi, ne fait l'objet d'aucun doute".
A en croire le leader du Psd/Jant Bi, "l'union nationale ne relève pas d'une posture politique, c'est une obligation éthique. Et la capacité de résilience d'un pays dépend de la lucidité de son élite et de sa capacité à se rassembler autour de l'Etat quand il le faut ; au lieu de se laisser divertir par une bande de jeunes débraillés (Y en a marre ?, ndlr), qui ne cherchent pas en réalité des solutions mais s'adonnent plutôt à la culture des problèmes, car ceux-ci constituent le terreau de sa prospérité étonnante". Car, dit-il, "leur préoccupation n'est pas de trouver des solutions pour le Sénégal, mais d’accroître ou d'inventer des difficultés pour faire fructifier leur "politique business" sans état d'âme". "Et la manière dont ils mobilisent la parole publique, à travers des invectives, à la limite de l'appel à la révolte, constitue un indicateur édifiant", fait-il remarquer.
M. Cissé estime qu'on ne combat pas un projet consolidant dans les déchirures d'une Nation. Il dit ne pas refuser le débat contradictoire qui doit prévaloir entre pouvoir et opposition mais lorsque celui-ci porte sur un sujet d'intérêt national, ils (les politiques) doivent pouvoir s'asseoir autour d'une table pour s'entendre. "En réalité, dire non à ces propositions, c'est refuser le développement de la Nation au profit de ses intérêts propres. Si l'on peut dire. Qu'on cesse d'entretenir la confusion et l'amalgame, car ils conduisent, au final, à des positions absurdes, irréalistes, comme de dire que ce projet de réforme va inaugurer l'ère de la reconnaissance et de la célébration de l'homosexualité ! C'est ignoble, car tout le monde connaît la position de refus radical du président de la République, gardien d'un Etat laïc, dont la Constitution garantit, protège et respecte toutes les religions qui sont elles-même estampillées zéro tolérance aux actes contre-nature", s'est offusqué Mamour Cissé qui ajoute que "c'est la même mauvaise foi qui habite certains quand ils prédisent la suppression du second tour aux Présidentielles, au moment où nous savons tous que le second tour a existé depuis les indépendances et continuera expressément à exister dans notre système électoral et notre Loi". Pour lui donc, ce projet de réforme constitutionnelle renforce, restitue, et reconnait avec éclat au peuple souverain, sa capacité et son droit absolu à se choisir librement son destin". C'est pourquoi lui et son parti vont voter "Oui" au référendum.
A en croire le leader du Psd/Jant Bi, "l'union nationale ne relève pas d'une posture politique, c'est une obligation éthique. Et la capacité de résilience d'un pays dépend de la lucidité de son élite et de sa capacité à se rassembler autour de l'Etat quand il le faut ; au lieu de se laisser divertir par une bande de jeunes débraillés (Y en a marre ?, ndlr), qui ne cherchent pas en réalité des solutions mais s'adonnent plutôt à la culture des problèmes, car ceux-ci constituent le terreau de sa prospérité étonnante". Car, dit-il, "leur préoccupation n'est pas de trouver des solutions pour le Sénégal, mais d’accroître ou d'inventer des difficultés pour faire fructifier leur "politique business" sans état d'âme". "Et la manière dont ils mobilisent la parole publique, à travers des invectives, à la limite de l'appel à la révolte, constitue un indicateur édifiant", fait-il remarquer.
M. Cissé estime qu'on ne combat pas un projet consolidant dans les déchirures d'une Nation. Il dit ne pas refuser le débat contradictoire qui doit prévaloir entre pouvoir et opposition mais lorsque celui-ci porte sur un sujet d'intérêt national, ils (les politiques) doivent pouvoir s'asseoir autour d'une table pour s'entendre. "En réalité, dire non à ces propositions, c'est refuser le développement de la Nation au profit de ses intérêts propres. Si l'on peut dire. Qu'on cesse d'entretenir la confusion et l'amalgame, car ils conduisent, au final, à des positions absurdes, irréalistes, comme de dire que ce projet de réforme va inaugurer l'ère de la reconnaissance et de la célébration de l'homosexualité ! C'est ignoble, car tout le monde connaît la position de refus radical du président de la République, gardien d'un Etat laïc, dont la Constitution garantit, protège et respecte toutes les religions qui sont elles-même estampillées zéro tolérance aux actes contre-nature", s'est offusqué Mamour Cissé qui ajoute que "c'est la même mauvaise foi qui habite certains quand ils prédisent la suppression du second tour aux Présidentielles, au moment où nous savons tous que le second tour a existé depuis les indépendances et continuera expressément à exister dans notre système électoral et notre Loi". Pour lui donc, ce projet de réforme constitutionnelle renforce, restitue, et reconnait avec éclat au peuple souverain, sa capacité et son droit absolu à se choisir librement son destin". C'est pourquoi lui et son parti vont voter "Oui" au référendum.