Diène a quitté son Sénégal natal pour étudier en France lorsqu’elle avait 18 ans. En 11 ans, elle avait obtenu des diplômes universitaires en finance d’entreprise et en systèmes d’information et développé une société de conseil en systèmes d’informations prospère avant de retourner au Sénégal
« Je savais que je serais une entrepreneuse comme ma mère » a dit Mme Diène.
Elle est allée au salon professionnel du Natural Products Expo West en Californie comme consultante avec une entreprise sénégalaise appuyée par le Centre pour le Commerce en Afrique de l’Ouest.
« Lors du salon, j’ai décidé de retourner dans mon pays et de créer Bioessence avec ma mère » se rappèle t-elle. « J’avais découvert le monde des produits naturels. »
Elles ont créé l’entreprise en 2005 en utilisant les compétences que Diène avait acquises comme consultante. Elles ont recruté un personnel talentueux mais il a fallu deux ans pour trouver des laboratoires partenaires, pour formuler des produits antivieillissement naturels, tester les produits, construire et équiper l’usine et – finalement – commencer la production.
Bioessence Laboratories produit maintenant des produits de beauté de haute qualité en utilisant des ingrédients naturels – essentiellement du beurre de karité mais aussi du beurre de mangue, de l’huile de neem, de l’huile de citrouille et d’autres plantes originaires d’Afrique.
Tout au long du développement de Biosessence, Diène a maintenu ses relations avec le Centre pour le Commerce, apprenant des formations techniques et orientées vers les exportations, lisant des guides à l’exportation et d’autres recherches et assistant à des salons professionnels. Rien que cette année, grâce à l’assistance du Centre pour le Commerce, Mme Diène a assisté au New York Society of Cosmetic Chemists et à une réunion avec CVS, l’une des plus grandes chaînes de pharmacies aux États Unis. Mutale Chilangwa, conseiller pour les liens avec les marchés du Centre pour le Commerce a déclaré que l’énergie de Mme Diène était contagieuse.
« Lorsque l’on voit l’enthousiasme de Mame à expliquer ses produits et à informer ses clients potentiels sur l’attrait de ses produits, il est très facile de comprendre l’essor rapide de son entreprise et sa réussite globale en tant qu’entrepreneuse a dit M. Chilangwa. » « Et sa réussite a profité non seulement à son entreprise mais à tout le secteur du karité. »
« Nous avons en Afrique une belle occasion de transformer les matières premières sur place » a expliqué Mme Diène. « C’est mieux que de vendre les matières premières à des prix très bas sans aucune valeur ajoutée. »
Bioessence se procure des matières premières – et les transforment – dans la région. Mme Diène a établi des relations d’affaires avec des coopératives féminines qui rassemblent des noix de karité et transforment au départ le beurre. L’entreprise travaille aussi avec les guérisseurs traditionnels et fait des recherches sur les anciennes pratiques de beauté de l’Afrique, modernise d’anciennes formules et effectue des expérimentations scientifiques sur elles.
« Nous voulons vraiment créer une industrie du karité ici au Sénégal, nous développer en partant du niveau artisanal » a t-elle affirmé. « Nous avons pour objectif de proposer systématiquement des produits et des services de haute qualité au monde du karité. »
Tandis que les Laboratoires de Bioessence prospèrent, Mme Diène reste attachée à sa mission personnelle d’amélioration de la vie des femmes pauvres en Afrique.
« En utilisant des graines et des noix qui étaient auparavant sous-évaluées, nous avons élevé le niveau de vie de 320 familles qui participent au processus de production du beurre de karité et nos paniers-cadeaux font la promotion des objets artisanaux fabriqués par les jeunes femmes du village » a affirmé Mme Diène. « J’essaie d’aider les femmes qui sont dans les affaires à officialiser leurs structures et je tente de promouvoir le rôle principal que les affaires jouent dans l’amorce de moyens innovateurs d’amélioration de la qualité de la vie sur le plan local, national et international. »
« Je savais que je serais une entrepreneuse comme ma mère » a dit Mme Diène.
Elle est allée au salon professionnel du Natural Products Expo West en Californie comme consultante avec une entreprise sénégalaise appuyée par le Centre pour le Commerce en Afrique de l’Ouest.
« Lors du salon, j’ai décidé de retourner dans mon pays et de créer Bioessence avec ma mère » se rappèle t-elle. « J’avais découvert le monde des produits naturels. »
Elles ont créé l’entreprise en 2005 en utilisant les compétences que Diène avait acquises comme consultante. Elles ont recruté un personnel talentueux mais il a fallu deux ans pour trouver des laboratoires partenaires, pour formuler des produits antivieillissement naturels, tester les produits, construire et équiper l’usine et – finalement – commencer la production.
Bioessence Laboratories produit maintenant des produits de beauté de haute qualité en utilisant des ingrédients naturels – essentiellement du beurre de karité mais aussi du beurre de mangue, de l’huile de neem, de l’huile de citrouille et d’autres plantes originaires d’Afrique.
Tout au long du développement de Biosessence, Diène a maintenu ses relations avec le Centre pour le Commerce, apprenant des formations techniques et orientées vers les exportations, lisant des guides à l’exportation et d’autres recherches et assistant à des salons professionnels. Rien que cette année, grâce à l’assistance du Centre pour le Commerce, Mme Diène a assisté au New York Society of Cosmetic Chemists et à une réunion avec CVS, l’une des plus grandes chaînes de pharmacies aux États Unis. Mutale Chilangwa, conseiller pour les liens avec les marchés du Centre pour le Commerce a déclaré que l’énergie de Mme Diène était contagieuse.
« Lorsque l’on voit l’enthousiasme de Mame à expliquer ses produits et à informer ses clients potentiels sur l’attrait de ses produits, il est très facile de comprendre l’essor rapide de son entreprise et sa réussite globale en tant qu’entrepreneuse a dit M. Chilangwa. » « Et sa réussite a profité non seulement à son entreprise mais à tout le secteur du karité. »
« Nous avons en Afrique une belle occasion de transformer les matières premières sur place » a expliqué Mme Diène. « C’est mieux que de vendre les matières premières à des prix très bas sans aucune valeur ajoutée. »
Bioessence se procure des matières premières – et les transforment – dans la région. Mme Diène a établi des relations d’affaires avec des coopératives féminines qui rassemblent des noix de karité et transforment au départ le beurre. L’entreprise travaille aussi avec les guérisseurs traditionnels et fait des recherches sur les anciennes pratiques de beauté de l’Afrique, modernise d’anciennes formules et effectue des expérimentations scientifiques sur elles.
« Nous voulons vraiment créer une industrie du karité ici au Sénégal, nous développer en partant du niveau artisanal » a t-elle affirmé. « Nous avons pour objectif de proposer systématiquement des produits et des services de haute qualité au monde du karité. »
Tandis que les Laboratoires de Bioessence prospèrent, Mme Diène reste attachée à sa mission personnelle d’amélioration de la vie des femmes pauvres en Afrique.
« En utilisant des graines et des noix qui étaient auparavant sous-évaluées, nous avons élevé le niveau de vie de 320 familles qui participent au processus de production du beurre de karité et nos paniers-cadeaux font la promotion des objets artisanaux fabriqués par les jeunes femmes du village » a affirmé Mme Diène. « J’essaie d’aider les femmes qui sont dans les affaires à officialiser leurs structures et je tente de promouvoir le rôle principal que les affaires jouent dans l’amorce de moyens innovateurs d’amélioration de la qualité de la vie sur le plan local, national et international. »