Mamadou, il est pour vous le deuxième but?
Oui, il est pour moi! (rires). Je la prends du genou, donc oui.
Quel est votre premier sentiment à l’issue de cette qualification?
Que du bonheur. Je pense que ce soir, on a réussi à marquer l’histoire, on a réussi à inverser la tendance. La France a démontré beaucoup de vertus, c’est ce qu’il faut retenir.
Elle représente quoi, cette Coupe du monde?
C’est quelque chose de beau, de fort, d’extraordinaire pour tout un peuple. Quand on a ce maillot-là , on ne peut pas oublier que ça représente beaucoup. Ce soir, j’espère que c’est le début de quelque chose.
On vous considère comme le quatrième défenseur des Bleus, et là c’est vous qui êtes le héros. C’est un sacré retournement de situation…
Quatrième, c’est vous qui le dites. Moi je suis à disposition de l’équipe de France. La saison dernière, j’ai fait tous les matches. Je ne me sens pas comme un héros. L’équipe a été le héros.
Vous aviez déjà inscrit un doublé?Jamais! En tant que défenseur, ça arrive très rarement. Je me souviens juste du doublé de Lilian Thuram sous le maillot bleu. On s’est remis en question après la défaite. J’avais dit qu’il fallait qu’on entre sur le terrain le couteau entre les dents. Il fallait montrer qu’on en avait. Ce soir, on l’a démontré.
Que pensez-vous de l’ambiance au Stade de France?
Fabuleuse. On l’a senti dès l’échauffement, le peuple était derrière nous. De la première à la dernière minute, on a pratiqué un beau football. On a joué notre jeu, on était sûrs de nous, costauds dans tous les duels.
Qu’est ce que vous vous êtes dit après le match, dans le vestiaire?
Ce qui se passe dans vestiaire, je le garde pour nous. Mais c’était quelque chose de beau. Je voulais vraiment le dédier à ma petite fille, ma femme que j’aime et à toute ma famille, mes proches. Et merci aux Français d’avoir soutenu cette équipe. Avant le match, des gens ne croyaient pas en nous. J’espère qu’on a réussi à conquérir le cœur de beaucoup de Français.
Oui, il est pour moi! (rires). Je la prends du genou, donc oui.
Quel est votre premier sentiment à l’issue de cette qualification?
Que du bonheur. Je pense que ce soir, on a réussi à marquer l’histoire, on a réussi à inverser la tendance. La France a démontré beaucoup de vertus, c’est ce qu’il faut retenir.
Elle représente quoi, cette Coupe du monde?
C’est quelque chose de beau, de fort, d’extraordinaire pour tout un peuple. Quand on a ce maillot-là , on ne peut pas oublier que ça représente beaucoup. Ce soir, j’espère que c’est le début de quelque chose.
On vous considère comme le quatrième défenseur des Bleus, et là c’est vous qui êtes le héros. C’est un sacré retournement de situation…
Quatrième, c’est vous qui le dites. Moi je suis à disposition de l’équipe de France. La saison dernière, j’ai fait tous les matches. Je ne me sens pas comme un héros. L’équipe a été le héros.
Vous aviez déjà inscrit un doublé?Jamais! En tant que défenseur, ça arrive très rarement. Je me souviens juste du doublé de Lilian Thuram sous le maillot bleu. On s’est remis en question après la défaite. J’avais dit qu’il fallait qu’on entre sur le terrain le couteau entre les dents. Il fallait montrer qu’on en avait. Ce soir, on l’a démontré.
Que pensez-vous de l’ambiance au Stade de France?
Fabuleuse. On l’a senti dès l’échauffement, le peuple était derrière nous. De la première à la dernière minute, on a pratiqué un beau football. On a joué notre jeu, on était sûrs de nous, costauds dans tous les duels.
Qu’est ce que vous vous êtes dit après le match, dans le vestiaire?
Ce qui se passe dans vestiaire, je le garde pour nous. Mais c’était quelque chose de beau. Je voulais vraiment le dédier à ma petite fille, ma femme que j’aime et à toute ma famille, mes proches. Et merci aux Français d’avoir soutenu cette équipe. Avant le match, des gens ne croyaient pas en nous. J’espère qu’on a réussi à conquérir le cœur de beaucoup de Français.
Propos recueillis par Bertrand Volpilhac, au Stade de France