«D’abord, je voulais indiquer que l’audit du ministère de la Santé et de l’Action sociale est un tissu de mensonges. Ils ont juste entendu une partie. C’est faux car mon fils était en vie quand ils ont arraché sa tête avant de le mettre dans un bocal. J’ai clairement dit au gynécologue que ma femme devait accoucher par césarienne comme elle l’avait déjà fait avec notre enfant qui a maintenant 4 ans», déclare cet ancien militaire dans des propos repris par ‘’Libération’’. .
A l’en croire, «mon enfant était en vie, ils l’ont tué et ils ont tué ma femme. Chaque fois qu’ils font des bêtises, ils se protègent au sein de leur corps. Le gynécologue m’a dit que l’enfant respirait et qu’ils allaient le sauver. J’ai aperçu mon fils. Mais ils l’ont tué par erreur, c’est ça la vérité. Ensuite, ils l’ont mis dans un bocal, récupéré par Makalou, un technicien de surface»
A l’en croire, «mon enfant était en vie, ils l’ont tué et ils ont tué ma femme. Chaque fois qu’ils font des bêtises, ils se protègent au sein de leur corps. Le gynécologue m’a dit que l’enfant respirait et qu’ils allaient le sauver. J’ai aperçu mon fils. Mais ils l’ont tué par erreur, c’est ça la vérité. Ensuite, ils l’ont mis dans un bocal, récupéré par Makalou, un technicien de surface»
Le mari de la défunte de terminer en ces termes : «quand j’ai dit à l’anesthésiste qu’ils ont tué ma femme et mon enfant, il était en larmes. Il ne pouvait même plus parler car il sait très bien ce qui s’est passé. Le gynécologue était paniqué. Ils ont fait leur bêtise et exercent un chantage sur la justice. Moi, je vais parler. Je vais parler car ils ont bousillé ma famille. Et qu’ils arrêtent de dire qu’exercer à Kédougou c’est un sacrifice. Ils n’ont qu’à rester à Dakar».