A l’initiative du gouvernement, de nombreux acteurs communautaires mais aussi des représentants de l’Etat malien vont travailler pendant quatre jours pour tenter de trouver une issue aux problèmes qui ensanglantent depuis plusieurs semaines la zone.
Le cas de Farabougou
Il sera notamment question du cas de Farabougou, village encerclé depuis un mois par des combattants jihadistes sur fond de conflit entre chasseurs traditionnels dozos et communauté peule.
Mais Farabougou n’est pas le seul dossier sur la table. Depuis des mois, et encore ces derniers jours, plusieurs localités du cercle de Niono connaissent des tensions intercommunautaires parfois meurtrières. Le cercle a également subi, dans un passé récent, des attaques terroristes, revendiquées par le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans, lié à al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
Et les « déplacés »
« Je veux aussi parler des déplacés », indique un maire qui participera aux travaux, et qui rappelle que plusieurs milliers de personnes ont fui leur maison pour échapper aux affrontements ou par crainte de représailles. Les forces de sécurité - armée, police, gendarmerie - sont également conviées aux discussions qui se tiendront jusqu’à dimanche.
Le cas de Farabougou
Il sera notamment question du cas de Farabougou, village encerclé depuis un mois par des combattants jihadistes sur fond de conflit entre chasseurs traditionnels dozos et communauté peule.
Mais Farabougou n’est pas le seul dossier sur la table. Depuis des mois, et encore ces derniers jours, plusieurs localités du cercle de Niono connaissent des tensions intercommunautaires parfois meurtrières. Le cercle a également subi, dans un passé récent, des attaques terroristes, revendiquées par le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans, lié à al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
Et les « déplacés »
« Je veux aussi parler des déplacés », indique un maire qui participera aux travaux, et qui rappelle que plusieurs milliers de personnes ont fui leur maison pour échapper aux affrontements ou par crainte de représailles. Les forces de sécurité - armée, police, gendarmerie - sont également conviées aux discussions qui se tiendront jusqu’à dimanche.