En recevant le 5 octobre une partie de la classe politique malienne, le président Ibrahim Boubacar Keita (IBK), s'est exprimé pour la première fois sur les événements survenus à Boulkessi où officiellement, 38 militaires maliens ont été tués par de présumés jihadistes.
Il a qualifié « d'élucubrations » les spéculations sur un éventuel putsch militaire à la suite des événements avant de rendre hommage aux soldats disparus.
En recevant le 5 octobre une partie de la classe politique malienne, le président Ibrahim Boubacar Keita (IBK), s'est exprimé pour la première fois sur les événements survenus à Boulkessi où officiellement, 38 militaires maliens ont été tués par de présumés jihadistes.
Il a qualifié « d'élucubrations » les spéculations sur un éventuel putsch militaire à la suite des événements avant de rendre hommage aux soldats disparus.
Le président malien voudrait « que notre entente nationale tout entière prie pour leurs âmes et que leur sacrifice soit le ferment d’une riposte sanglante de nos forces et d’une confiance renouvelée, aguerrie de défense de la patrie et de nos valeurs de civilisation. Je note la douleur profonde de tout le peuple. Chacun doit savoir que cette émotion, cette douleur, sont miennes ».
RFI
Il a qualifié « d'élucubrations » les spéculations sur un éventuel putsch militaire à la suite des événements avant de rendre hommage aux soldats disparus.
En recevant le 5 octobre une partie de la classe politique malienne, le président Ibrahim Boubacar Keita (IBK), s'est exprimé pour la première fois sur les événements survenus à Boulkessi où officiellement, 38 militaires maliens ont été tués par de présumés jihadistes.
Il a qualifié « d'élucubrations » les spéculations sur un éventuel putsch militaire à la suite des événements avant de rendre hommage aux soldats disparus.
Le président malien voudrait « que notre entente nationale tout entière prie pour leurs âmes et que leur sacrifice soit le ferment d’une riposte sanglante de nos forces et d’une confiance renouvelée, aguerrie de défense de la patrie et de nos valeurs de civilisation. Je note la douleur profonde de tout le peuple. Chacun doit savoir que cette émotion, cette douleur, sont miennes ».
RFI