Pis, elle s'est installée dans les plus hautes structures administratives. La preuve, la semaine dernière, un agent du Tribunal de grande instance de la cité du rail qui travaillerait au bureau des casiers judiciaires aurait été interpellé et auditionné par des enquêteurs du commissariat dans le cadre de cette scabreuse affaire. Malheureusement, les autorités judiciaires semblent vouloir passer sous silence cet acte qui indispose tous les agents du Tribunal, surtout qu'aucun ne veut qu'il soit redéployé dans son bureau.
Le présumé auteur de ces actes impudiques et contre nature qui répondrait au nom de B.D, aurait déjà commis des actes similaires au Tribunal de Matam et de Tivaouane. Les anciens chefs des parquet qui ont tous été choqués, ont à chaque fois demandé sa mutation.
Malheureusement, il ne s'est jamais amendé. Mais, chasser le naturel, il revient toujours au galop, et B.D a encore remis ça au Tribunal de grande instance de Thiès. Selon notre source, B.D qui était affecté au bureau des casiers, profitait des heures d'affluence de jeunes venus chercher un casier pour dérouler son modus operandi. Il leur donnait rendez-vous à l'heure de la descente quand bien même certains agents avaient déjà des doutes surtout qu'à l'heure de la pose son bureau était toujours fermé à double tour.
Aujourd'hui, le personnel qui ne supporte plus la tête du présumé auteur de ces faits, rechigne à partager leurs bureaux avec ce prédateur sexuel hors norme, récidiviste, extrêmement dangereux pour les jeunes Thiessois qui, en cette période de fin d'année viennent en masse pour chercher des papiers d'état civil pour préparer les examens et concours.
Le présumé auteur de ces actes impudiques et contre nature qui répondrait au nom de B.D, aurait déjà commis des actes similaires au Tribunal de Matam et de Tivaouane. Les anciens chefs des parquet qui ont tous été choqués, ont à chaque fois demandé sa mutation.
Malheureusement, il ne s'est jamais amendé. Mais, chasser le naturel, il revient toujours au galop, et B.D a encore remis ça au Tribunal de grande instance de Thiès. Selon notre source, B.D qui était affecté au bureau des casiers, profitait des heures d'affluence de jeunes venus chercher un casier pour dérouler son modus operandi. Il leur donnait rendez-vous à l'heure de la descente quand bien même certains agents avaient déjà des doutes surtout qu'à l'heure de la pose son bureau était toujours fermé à double tour.
Aujourd'hui, le personnel qui ne supporte plus la tête du présumé auteur de ces faits, rechigne à partager leurs bureaux avec ce prédateur sexuel hors norme, récidiviste, extrêmement dangereux pour les jeunes Thiessois qui, en cette période de fin d'année viennent en masse pour chercher des papiers d'état civil pour préparer les examens et concours.