Miss Black France, Mbathio Bèye, s’est engagé auprès de l’association Drépavie pour un voyage d’une semaine, samedi dernier, au Sénégal, pour la lutte contre la drépanocytose. En compagnie de Corinne Liégeois de Drépavie France, la jeune sénégalaise espère faire bouger les lignes afin d’atténuer les souffrances des drépanocytaires et prévenir contre la maladie.
Son élection en mars l’avait révélé au delà de l’Atlantique. Elle est apparue certes belle, mais aussi avec un brin d’intelligence qui fait tache. Huit mois plus tard, la brindille s’est épaissie, pas en taille, mais en sérénité et par l’exercice de son magistère que ni les polémiques franco-françaises sur l’opportunité d’une telle élection encore moins les péripéties de la vie ne paraissent toucher. En revanche, les souffrances des malades de la drépanocytose l’ébranlent, la touchent et la tourmentent. Aussi, a-t-elle décidé de s’engager dans la lutte contre cette maladie en Afrique.
Elle a choisi le Sénégal comme premier pays. « C’est mon pays. Ma première mission devait commencer par Dakar. Il faut aussi savoir que le Sénégal est l’un des pionniers en matière de lutte contre la drépanocytose ». Et comme un taleb récitant à la perfection sa leçon sue, Mbathio convoque l’appel international des femmes soutenu par l’Unesco et la Francophonie et qui a été lancé par Mme Viviane Wade en juin 2003, ou encore le 3ème congrès international scientifique sur la maladie de novembre 2006. Ce qui donne une légitimité pour son pays d’origine dans la lutte contre la drépanocytose.
Mbathio Bèye dit tenir « personnellement » à ce que la mission soit pérenne. Un programme qui a été amorcé par l’Association sénégalaise de lutte contre la drépanocytose (Asd), présidée par Maguèye Ndiaye. Le but étant d’élaborer un partenariat durable avec les 2 associations homologues (Drépavie en France et Asd) », dans le but d’améliorer « les conditions de vie des drépanocytaires, en élargissant leur accès aux services de santé et d’information, à l’éducation et à la formation professionnelle.
Nous allons soumettre notre programme aux autorités. Je pense notamment à la fondation de la Première Dame », dit-elle. Mbathio Bèye a déjà sa feuille de route. « Nous allons visiter l’hôpital des enfants et le centre de transfusion sanguine à Dakar. La drépanocytose est une maladie mal connue des populations. Donc, l’information reste une priorité. Pour ce faire, des campagnes de sensibilisation et d’information (campagnes Iec) seront faites auprès des écoles et lycées, ainsi que dans une autre région (Thiès) », avance-t-elle.
Malgré les difficultés confrontées pour la mise en place du projet, cette femme croit à l’investissement des jeunes de la diaspora dans le milieu associatif, notamment « pour le développement économique, social et culturel du Sénégal ».
Source : lesoleil.sn
Elle a choisi le Sénégal comme premier pays. « C’est mon pays. Ma première mission devait commencer par Dakar. Il faut aussi savoir que le Sénégal est l’un des pionniers en matière de lutte contre la drépanocytose ». Et comme un taleb récitant à la perfection sa leçon sue, Mbathio convoque l’appel international des femmes soutenu par l’Unesco et la Francophonie et qui a été lancé par Mme Viviane Wade en juin 2003, ou encore le 3ème congrès international scientifique sur la maladie de novembre 2006. Ce qui donne une légitimité pour son pays d’origine dans la lutte contre la drépanocytose.
Mbathio Bèye dit tenir « personnellement » à ce que la mission soit pérenne. Un programme qui a été amorcé par l’Association sénégalaise de lutte contre la drépanocytose (Asd), présidée par Maguèye Ndiaye. Le but étant d’élaborer un partenariat durable avec les 2 associations homologues (Drépavie en France et Asd) », dans le but d’améliorer « les conditions de vie des drépanocytaires, en élargissant leur accès aux services de santé et d’information, à l’éducation et à la formation professionnelle.
Nous allons soumettre notre programme aux autorités. Je pense notamment à la fondation de la Première Dame », dit-elle. Mbathio Bèye a déjà sa feuille de route. « Nous allons visiter l’hôpital des enfants et le centre de transfusion sanguine à Dakar. La drépanocytose est une maladie mal connue des populations. Donc, l’information reste une priorité. Pour ce faire, des campagnes de sensibilisation et d’information (campagnes Iec) seront faites auprès des écoles et lycées, ainsi que dans une autre région (Thiès) », avance-t-elle.
Source : lesoleil.sn