"Ancien étudiant en informatique au Nigéria, sans emploi, domicilié aux Parcelles Assainies sans autres précisions, il a été arrêté dès sa sortie de l’Ambassade du Nigéria à Fann par les éléments de la brigade de recherches du commissariat" du Point E, renseigne la police sénégalaise dans un communiqué.
Selon la source, "le suspect a séjourné des mois en Mauritanie" et "serait à Dakar dans le seul but de recruter des terroristes pour le compte de Boko Haram".
La police apprend également que le Chef du BCN-INTERPOL a été sollicité pour des vérifications auprès de son homologue nigérian.
Auparavant, le 29 mars 2017, s'agissant des deux ressortissants marocains supposés liés à l’Etat Islamique, ils ont été appréhendés à l’Aéroport Léopold Sédar SENGHOR de Dakar par les éléments de la Direction de la Police de l’Air et des Frontières (DPAF).
"En provenance de Turquie dans un camp de réfugiés recueillant en majorité des Syriens, les deux ressortissants marocains ont déclaré jeter leur dévolu sur notre pays, en raison du calme, de la tranquillité et de sa proximité avec le leur, le Maroc", selon la police.
"D’ailleurs, ajoute la police, ils ont déclaré qu’ils se sont identifiés en Turquie comme étant des ressortissants syriens. Les mis en cause ont réfuté toute appartenance à un groupe terroriste, toute fréquentation de zone de combats, notamment la Syrie et l’Irak, tout entraînement physique ou au maniement des armes".
"Le Procureur de la République a été avisé et les enquêtes se poursuivent", indique-on.
Selon la source, "le suspect a séjourné des mois en Mauritanie" et "serait à Dakar dans le seul but de recruter des terroristes pour le compte de Boko Haram".
La police apprend également que le Chef du BCN-INTERPOL a été sollicité pour des vérifications auprès de son homologue nigérian.
Auparavant, le 29 mars 2017, s'agissant des deux ressortissants marocains supposés liés à l’Etat Islamique, ils ont été appréhendés à l’Aéroport Léopold Sédar SENGHOR de Dakar par les éléments de la Direction de la Police de l’Air et des Frontières (DPAF).
"En provenance de Turquie dans un camp de réfugiés recueillant en majorité des Syriens, les deux ressortissants marocains ont déclaré jeter leur dévolu sur notre pays, en raison du calme, de la tranquillité et de sa proximité avec le leur, le Maroc", selon la police.
"D’ailleurs, ajoute la police, ils ont déclaré qu’ils se sont identifiés en Turquie comme étant des ressortissants syriens. Les mis en cause ont réfuté toute appartenance à un groupe terroriste, toute fréquentation de zone de combats, notamment la Syrie et l’Irak, tout entraînement physique ou au maniement des armes".
"Le Procureur de la République a été avisé et les enquêtes se poursuivent", indique-on.