Les 150 tonnes de sardinelles et autres espèces séchées, toutes de très petite taille, ont été saisies aux alentour du Cap des Biches par le service de pêche. " Sur place, nous avons découvert du poisson séché de très petite taille, non conforme à la réglementation . Ce sont des quantités importantes variant entre 130 et 200 tonnes déjà emballées", a expliqué Abdou Aziz Gueye, inspecteur régional de la pêche, faisant l'inventaire de la saisie qui a fait suite à une filature d'un mois pour repérer le site clandestin. Il n'a pas précisé le montant de la saisie mais a prévenu d'éventuelles sanctions pour les contrevenants. "Des sanctions ne vont pas manquer, la procédure va être appliquée", a-t-il assuré.
Pour lutter contre cette forme de pêche, ses services ont déployé de nombreux efforts mais cela ne décourage pas pour autant les pêcheurs et les femmes transformatrices. Le responsable départemental de la pêche précise que pour les sadinelles, la taille normale est de 18 cm de long alors que la saisie est composée de poissons ne dépassant pas 10 cm.
"Il faut savoir que ces sardinelles immatures ne sont pas consommées au Sénégal. Ce sont des étrangers qui les achètent pour les exporter allant jusqu'à proposer des pré-financements aux pêcheurs et aux femmes transformatrices", a-t-il déploré, soutenant ""qu'aucune raison ne peut justifier cette forme de pêche inacceptable".
source: le quotidien
Pour lutter contre cette forme de pêche, ses services ont déployé de nombreux efforts mais cela ne décourage pas pour autant les pêcheurs et les femmes transformatrices. Le responsable départemental de la pêche précise que pour les sadinelles, la taille normale est de 18 cm de long alors que la saisie est composée de poissons ne dépassant pas 10 cm.
"Il faut savoir que ces sardinelles immatures ne sont pas consommées au Sénégal. Ce sont des étrangers qui les achètent pour les exporter allant jusqu'à proposer des pré-financements aux pêcheurs et aux femmes transformatrices", a-t-il déploré, soutenant ""qu'aucune raison ne peut justifier cette forme de pêche inacceptable".
source: le quotidien