«C’est la quatrième fois que la fondation vient nous financer. C’est un partenaire de choix dans notre travail et son appui nous a permis de considérablement faire évoluer notre production. Grâce aux financements sans intérêt que la fondation nous propose, nous avons pu acquérir des équipements et n’éprouvons plus de problèmes pour l’achat de la matière première», s’est réjouie Aminata Diané, présidente du Gie.
«Sans ces financements de la Sococim, nous serions obligées de nous tourner vers les banques qui nous exigent des taux exorbitants. Votre action contribue à lutter contre la féminisation de la pauvreté», a-t-elle poursuivi, saluant le partenariat avec la Fondation Sococim, entamé en 2017.
«Nous nous engageons à poursuivre dans le chemin du travail pour, comme d’habitude, rembourser comme nous l’avons toujours fait», a ainsi promis la présidente du Gie, qui tient ses activités à la Maison rouge de Dangou Missirah (Rufisque Nord). Mis en place en 2003 avec le soutien d’Enda 3D, le Gie Jarin sa rew a considérablement évolué. Ses produits font l’objet d’une demande forte, notamment du côté de l’Armée sénégalaise qu’il pourvoit en couscous et autres. «On constate qu’il y a eu de grands progrès. Ce sont des partenaires qui respectent leurs engagements depuis le début de notre collaboration et c’est toujours avec un grand plaisir que nous venons à leur rencontre pour de nouvelles opérations», a relevé Patricia Diagne, administratrice de la Fondation Sococim. «Il s’agit du premier financement pour 2022, le quatrième pour le Gie Jarin sa rew depuis le début de notre partenariat. Le montant est de 4 millions de francs Cfa et il servira à acheter des matières premières et une décortiqueuse», a indiqué Mme Diagne.
La Fondation Sococim s’active depuis quelques années dans le financement des activités des femmes transformatrices. Sur ce, Mme Diagne a fait savoir que la fondation en a financé 11 pour l’année 2021. Elle s’est montrée optimiste pour l’année 2022, qui devrait consacrer la reprise normale des activités suite aux contraintes imposées par le Covid-19. Rapporte Vipeoples
«Sans ces financements de la Sococim, nous serions obligées de nous tourner vers les banques qui nous exigent des taux exorbitants. Votre action contribue à lutter contre la féminisation de la pauvreté», a-t-elle poursuivi, saluant le partenariat avec la Fondation Sococim, entamé en 2017.
«Nous nous engageons à poursuivre dans le chemin du travail pour, comme d’habitude, rembourser comme nous l’avons toujours fait», a ainsi promis la présidente du Gie, qui tient ses activités à la Maison rouge de Dangou Missirah (Rufisque Nord). Mis en place en 2003 avec le soutien d’Enda 3D, le Gie Jarin sa rew a considérablement évolué. Ses produits font l’objet d’une demande forte, notamment du côté de l’Armée sénégalaise qu’il pourvoit en couscous et autres.
La Fondation Sococim s’active depuis quelques années dans le financement des activités des femmes transformatrices. Sur ce, Mme Diagne a fait savoir que la fondation en a financé 11 pour l’année 2021. Elle s’est montrée optimiste pour l’année 2022, qui devrait consacrer la reprise normale des activités suite aux contraintes imposées par le Covid-19. Rapporte Vipeoples