Entre le Docteur Babacar Niang, médecin-chef de la clinique Suma, et le député Farba Ngom, le pire est désormais à craindre. Les deux hommes, qui se disputent un lopin de terre de cinq mètres carrés, semblent avoir recouru et épuisé toutes les voies de négociation possible. Le Dr Niang, dont la parcelle en question appartient à son fils Yérim Niang, indique avoir écrit au président de la République et de l’Assemblée nationale pour se plaindre « du diktat » de Farba Ngom. Il est, en effet, reproché au député d’avoir démoli le mur du voisin, enseveli sa piscine pour agrandir sa propre demeure. « Regardez bien, les carreaux que vous voyez là , c’était une piscine. L’autre partie est désormais dans le domaine de Farba Ngom », explique-t-il. « C’est parce qu’il est protégé par l’immunité parlementaire qu’il se croit tout permis », martèle-t-il.
Le Dr Niang, qui estime que son fils a été spolié, soutient que les choses se sont aggravées dernièrement quand Farba Ngom leur a envoyé des agents leur sommant de stopper les travaux en cours dans leur domaine. « Mon fils, qui se trouve à l’étranger, souhaite créer un centre nautique dans cet espace. Il en a l’autorisation. Mais les ouvriers étaient en train de s’activer quand des agents, se réclamant de la Dscos (Direction de surveillance et de contrôle de l’occupation des sols), sont venus leur intimer l'ordre d’arrêter les travaux », fulmine-t-il. Le Dr Niang soutient s’être renseigné pour comprendre les fondements d’une telle décision. « On me dit que c’est Farba Ngom qui ne veut pas qu’un lieu de dépravation des mœurs soit installé dans le secteur. Ce n’est pas normal. Ce n’est pas à lui de dire ce que les gens vont faire dans le quartier. Il nous a trouvé ici », peste-t-il.
Visiblement en colère et expliquant envisager désormais d'user de son arme pour régler ses comptes. « Depuis que je l’ai achetée, je ne l’ai jamais sortie, même pas une fois. Mais dernièrement, je ne sais pas pour quelle raison, j’ai pensé à cette arme et je l’ai sortie pour l’essayer », confie-t-il dans le journal.
Face aux accusations et à la détermination du Dr Niang, la version du député maire de Agnam Civol, Farba Ngom était des plus sollicitées. Seulement, soutiennent nos confrères, le natif d’Agnam ne veut pas s’épancher dans les médias.
Le Dr Niang, qui estime que son fils a été spolié, soutient que les choses se sont aggravées dernièrement quand Farba Ngom leur a envoyé des agents leur sommant de stopper les travaux en cours dans leur domaine. « Mon fils, qui se trouve à l’étranger, souhaite créer un centre nautique dans cet espace. Il en a l’autorisation. Mais les ouvriers étaient en train de s’activer quand des agents, se réclamant de la Dscos (Direction de surveillance et de contrôle de l’occupation des sols), sont venus leur intimer l'ordre d’arrêter les travaux », fulmine-t-il. Le Dr Niang soutient s’être renseigné pour comprendre les fondements d’une telle décision. « On me dit que c’est Farba Ngom qui ne veut pas qu’un lieu de dépravation des mœurs soit installé dans le secteur. Ce n’est pas normal. Ce n’est pas à lui de dire ce que les gens vont faire dans le quartier. Il nous a trouvé ici », peste-t-il.
Visiblement en colère et expliquant envisager désormais d'user de son arme pour régler ses comptes. « Depuis que je l’ai achetée, je ne l’ai jamais sortie, même pas une fois. Mais dernièrement, je ne sais pas pour quelle raison, j’ai pensé à cette arme et je l’ai sortie pour l’essayer », confie-t-il dans le journal.
Face aux accusations et à la détermination du Dr Niang, la version du député maire de Agnam Civol, Farba Ngom était des plus sollicitées. Seulement, soutiennent nos confrères, le natif d’Agnam ne veut pas s’épancher dans les médias.