En plus de l’ordonnance de référé sur place qui avait acté la démolition et l’expulsion de la Sedima des 3 ha, le propriétaire Diagne a mis en vente le terrain au plus offrant. «Il y a déjà deux prétendants : un Libanais très balèze, qui veut se lancer dans la pisciculture et une société étrangère qui s’active dans le maraîchage», renseigne une source du journal "Les Echos".
Mieux, l’avocat de Mamadou Soumaré Diagne compte signifier l’ordonnance par voie d’huissier à Babacar Ngom, la semaine prochaine. Mais ce dernier, qui fait toujours dans la résistance, a fait appel de la décision du Tribunal de grande instance hors classe de Dakar. Seulement en matière d’ordonnance, l’appel n’est pas suspensif, a fait savoir l’avocat.
«Le terrain appartient désormais à notre client d’une manière irrévocable, c’est irréversible. En appel, la Sedima ne peut demander que le sursis à exécution pour retarder un peu l’exécution de la décision et le juge d’appel peut le lui refuser», a fait savoir l’avocat de Mamadou Soumaré Diagne.
A retenir, le juge des référés avait délivré une décision pas du tout favorable à Babacar Ngom. Après la requête de Mamadou Soumaré Diagne, qui accusait la Sedima de s’être accaparée de ses terres, le juge a tout simplement ordonné l’expulsion de la Sedima, ainsi que de tout occupant de son chef de la parcelle de 3 ha 31 a 54 ca située dans le village de Keur Ndiaw et enregistrée sous le numéro 33/Cngd/2017.
Le tribunal ne s’est pas arrêté là . Il a aussi demandé la démolition pure et simple des bâtiments et autres murs de clôture et grillage. Ce, à la charge de Mamadou Soumaré Diagne et aux frais de la Sedima.
Mieux, l’avocat de Mamadou Soumaré Diagne compte signifier l’ordonnance par voie d’huissier à Babacar Ngom, la semaine prochaine. Mais ce dernier, qui fait toujours dans la résistance, a fait appel de la décision du Tribunal de grande instance hors classe de Dakar. Seulement en matière d’ordonnance, l’appel n’est pas suspensif, a fait savoir l’avocat.
«Le terrain appartient désormais à notre client d’une manière irrévocable, c’est irréversible. En appel, la Sedima ne peut demander que le sursis à exécution pour retarder un peu l’exécution de la décision et le juge d’appel peut le lui refuser», a fait savoir l’avocat de Mamadou Soumaré Diagne.
A retenir, le juge des référés avait délivré une décision pas du tout favorable à Babacar Ngom. Après la requête de Mamadou Soumaré Diagne, qui accusait la Sedima de s’être accaparée de ses terres, le juge a tout simplement ordonné l’expulsion de la Sedima, ainsi que de tout occupant de son chef de la parcelle de 3 ha 31 a 54 ca située dans le village de Keur Ndiaw et enregistrée sous le numéro 33/Cngd/2017.
Le tribunal ne s’est pas arrêté là . Il a aussi demandé la démolition pure et simple des bâtiments et autres murs de clôture et grillage. Ce, à la charge de Mamadou Soumaré Diagne et aux frais de la Sedima.