A "Expresso", les travailleurs n'osent plus pour reprendre le slogan cher à l'opérateur de téléphonie. Entre "licenciements abusifs et intimidations", le personnel ne sait plus à quel réseau se connecter.
Dans une lettre adressée à l'Inspection du travail et au Haut conseil du dialogue social, ils déplorent outre leur "situation très précaire", des actes qui renvoient à l'esclavagisme moderne. En effet, l'équipe commerciale est tenu de chercher 200.000 nouveaux abonnés chaque mois au risque de se faire jeter à la porte. "L'objectif, c'est 200.000 nouveau clients par mois, ce qui fait 2,4 millions de clients sur toute l'année 2017. Ce qui est un objectif fantaisiste, que nous ne pourrons atteindre, dans la mesure où Orange même parvient pas à faire 2 millions de nouveau clients par année", narre un des plaignants.
Pour ne rien arranger, renseigne le journal "Les Echocs" qui s'est fait l'écho de la lettre des travailleurs, les responsables du 3e opérateur mobile au Sénégal ont servi des demandes d'explications, le 19 avril. "Ils ont servi des avertissement à certains employés sans pour autant leur notifier une demande d'explication par rapport aux objectifs qui ont été assignés. Alors que les conditions ne sont pas réunies pour atteindre ces objectifs, car depuis février 2017, ils font travailler d'honnêtes Sénégalais , en l'occurrence les free lanceurs, dans des conditions très difficiles", note la source.
La Direction de "Expresso" est accusé d'avoir violé les mesures de l'Autorité de régulation des postes et télécommunications sur l'activation des puces. Pour permettre l'appel et la réception d'un appel, le client doit se rendre à l'agence ou une boutique partenaire pour acheter une puce et se faire identifier. "Expresso est allé plus loin en permettant même aux boutiquiers, aux ambulants, la possibilité d'identifier en appelant le 1070, ce qui est anormal, vu la nouvelle disposition de l'Artp", soutiennent les travailleurs:
Dans une lettre adressée à l'Inspection du travail et au Haut conseil du dialogue social, ils déplorent outre leur "situation très précaire", des actes qui renvoient à l'esclavagisme moderne. En effet, l'équipe commerciale est tenu de chercher 200.000 nouveaux abonnés chaque mois au risque de se faire jeter à la porte. "L'objectif, c'est 200.000 nouveau clients par mois, ce qui fait 2,4 millions de clients sur toute l'année 2017. Ce qui est un objectif fantaisiste, que nous ne pourrons atteindre, dans la mesure où Orange même parvient pas à faire 2 millions de nouveau clients par année", narre un des plaignants.
Pour ne rien arranger, renseigne le journal "Les Echocs" qui s'est fait l'écho de la lettre des travailleurs, les responsables du 3e opérateur mobile au Sénégal ont servi des demandes d'explications, le 19 avril. "Ils ont servi des avertissement à certains employés sans pour autant leur notifier une demande d'explication par rapport aux objectifs qui ont été assignés. Alors que les conditions ne sont pas réunies pour atteindre ces objectifs, car depuis février 2017, ils font travailler d'honnêtes Sénégalais , en l'occurrence les free lanceurs, dans des conditions très difficiles", note la source.
La Direction de "Expresso" est accusé d'avoir violé les mesures de l'Autorité de régulation des postes et télécommunications sur l'activation des puces. Pour permettre l'appel et la réception d'un appel, le client doit se rendre à l'agence ou une boutique partenaire pour acheter une puce et se faire identifier. "Expresso est allé plus loin en permettant même aux boutiquiers, aux ambulants, la possibilité d'identifier en appelant le 1070, ce qui est anormal, vu la nouvelle disposition de l'Artp", soutiennent les travailleurs: