Licenciés pour motif économique le 21 avril 2021 après un chômage de plus de 18 mois, les 75 travailleurs de l’usine de transformation de produits halieutiques de la Petite Côte ont fêté autrement la Saint-Valentin cette année. Certaines familles disloquées par ce drame social ont renoué avec l’espoir de colmater les brèches financières, et ont vu les soucis causés par les retards de paiement des loyers et la scolarisation des enfants dissipés.
D'aprés Vipeoples , les raisons de ce regain d’espoir sont à chercher dans la décision rendue le 14 février par le juge des référés du tribunal de grande instance de Mbour en faveur de ces braves pères de famille défendus par Me Cheikh Koureyssi Ba. En effet, le juge des référés a condamné la société Ikagel à payer des indemnités de licenciement aux 75 travailleurs de l’usine. Des indemnités qui avoisinent la trentaine de millions de francs CFA.
Le juge a également fixé une astreinte de 100 mille francs CFA par jour de retard et par travailleur à compter de la notification de la décision. Ce qui ne devrait pas poser un problème puisque Christian Langlois, le patron de Ikagel, a reçu récemment un chèque consistant de son assureur relativement au sinistre qui avait frappé l’usine. Bon seigneur, nous gageons qu’il va également passer à la caisse dans les plus brefs délais pour soulager, à son tour, ces braves pères de famille. Ainsi, il garderait intact l’esprit de la Saint-Valentin pour ces travailleurs qui étaient en perpétuelle lune de fiel.
D'aprés Vipeoples , les raisons de ce regain d’espoir sont à chercher dans la décision rendue le 14 février par le juge des référés du tribunal de grande instance de Mbour en faveur de ces braves pères de famille défendus par Me Cheikh Koureyssi Ba. En effet, le juge des référés a condamné la société Ikagel à payer des indemnités de licenciement aux 75 travailleurs de l’usine. Des indemnités qui avoisinent la trentaine de millions de francs CFA.
Le juge a également fixé une astreinte de 100 mille francs CFA par jour de retard et par travailleur à compter de la notification de la décision. Ce qui ne devrait pas poser un problème puisque Christian Langlois, le patron de Ikagel, a reçu récemment un chèque consistant de son assureur relativement au sinistre qui avait frappé l’usine. Bon seigneur, nous gageons qu’il va également passer à la caisse dans les plus brefs délais pour soulager, à son tour, ces braves pères de famille. Ainsi, il garderait intact l’esprit de la Saint-Valentin pour ces travailleurs qui étaient en perpétuelle lune de fiel.