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Liberté 6 : Une bagarre entre homosexuels éclate après une transaction sexuelle ratée


Rédigé le Mardi 28 Janvier 2025 à 12:17 | Lu 89 fois | 0 commentaire(s)




Un plan à trois, impliquant trois pédés qui avaient convenu avec l’un d’eux, d’une tarification à 100 000 FCFA à Liberté 6, a fini en queue de poisson. Pour avoir subi les assauts de ses deux partenaires mauvais payeurs, le pédé qui monnayait ses ébats exige son dû en s’acharnant sur ses vis-à-vis, comme le rapporte L’Observateur.

Une partie de jambes en l’air facturée à la rondelette somme de 100 000 FCFA. Ce business lucratif qui ferait saliver la plus convoitée des filles de joie, a bien cours dans la capitale sénégalaise. Cependant, la singularité de ce deal est qu’il ne met pas en couple des partenaires de sexes différents. Ici, les acteurs sont exclusivement des hommes qui se livrent à des actes contre-nature. En plus clair, des homosexuels qui conviennent, dans la plus grande clandestinité, des ébats sexuels contre nature tarifés à des prix onéreux. Ils ont cours dans l’intimité d’appartements meublés. Une constance illustrée par cet énième cas ébruité dimanche dernier, au quartier dakarois de Liberté-6, comme le rapporte L’Observateur, lit-on dans Seneweb.

Les trois homosexuels se « crêpent les chignons » aux abords du tracé du BRT
Ce jour, 26 janvier 2025, il est environ 18 heures, lorsque l’attention des usagers de la route qui empruntent le tracé du « BRT », est attirée par une rixe bien singulière. Trois hommes en viennent aux mains. Jusque-là, rien de bien particulier. Mais ce qui va intriguer les curieux présents sur place, ce sont les insultes et autres coups de poing très efféminés des antagonistes. Les présomptions des spectateurs qui renvoient à une bagarre entre homosexuels, vont s’avérer quelques instants après. Les limiers du commissariat de Grand-Yoff, compétents dans la scène du rixe, interviennent. Au regard des curiosités de cette bagarre qui avait fini de susciter moult commentaires et déductions, les policiers procèdent à l’interpellation des deux principaux antagonistes, Fallou Sène et Amadou Seydi. Plus alerte, le troisième élément de ce groupe, Hady Sy, profite du vacarme pour s’éclipser sur la pointe des pieds, selon L’Observateur.

Les aveux sans ambages de F. Sène et de son partenaire attitré, A. Seydi

Au cours de l’enquête ouverte, les policiers vont chercher à tirer les vers du nez de leurs hôtes. A cet exercice, Fallou Sène sera prolixe et généreux en détails. A l’en croire, il avait rejoint, ce jour-là, son partenaire, A. Seydi, dans un appartement meublé sis à Liberté-6, loué pour une partie de jambes en l’air. Il précise qu’il avait conclu ce deal avec Seydi, moyennant 100 000 FCFA la passe. Loquace, F. Sène précise qu’il comptait utiliser cette somme pour solder ses arriérés de loyer. Dans cet appartement, le duo sera rejoint par un autre présumé homosexuel, Hady Sy. Un scénario conforté par A. Seydi qui confie aux enquêteurs de Grand-Yoff que c’est son ami H. Sy qui a été le premier à avoir une conjonction sexuelle avec leur partenaire du jour, F. Sène. Déroulant le film de cette intimité, A. Seydi précise qu’avant de passer à l’acte sexuel, ils s’étaient enivrés à la très réputée drogue dite « volet », selon L’Observateur.

F. Sène, qui jouait la femme du groupe, tenait visiblement à empocher ses 100 000 FCFA. Il enfonce ainsi le clou. Domicilié à Guédiawaye, il confie qu’à la suite de H. Sy, il a subi les assauts de A. Seydi. Seulement, relève-t-il, au terme de ces deux rapports sexuels contre nature, A. Seydi a refusé de lui remettre son argent. Ce qui l’a mis dans une colère noire.

La pommade lubrifiante et le stock de « volet »

L’insulte à la bouche, F. Sène s’en prend à ses deux partenaires. Dans la foulée, Fallou confisque le téléphone de Seydi. Le ton monte et les antagonistes se retrouvent sur la voie publique pour une bagarre très efféminée. La police va booster son enquête en procédant à la perquisition de l’appartement meublé pris en location. L’exercice est ponctué par la saisie d’une pommade de lubrifiant, mais aussi d’une vingtaine de comprimés « Volet ». Mieux, à la suite de ses révélations, F. Sène qui avait dit avoir joué la femme, sera mis en observation médicale d’urgence. Le diagnostic des blouses blanches est sans équivoque : « pé… anale… ». Ayant retenu autant d’indices graves et concordants, F. Sène et A. Seydi ont été placés en garde à vue, avant d’être présentés devant le procureur de la République, près le tribunal de grande instance de Dakar pour acte contre nature et usage de drogue (« volet »), comme rapporté par L’Observateur.
 
 


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