« Toutes les dispositions administratives ont été prises au niveau du ministère de l’Élevage et des Productions animales, telles l’ouverture d’un compte spécial nommé fonds d’intervention MEPA, la désignation du DAGE en qualité d’administrateur de crédit et la signature de l’arrêté par le ministre de l’Élevage qui a été signé et envoyé au ministère des Finances et du Budget », a soutenu Amadou Lamine Kane, le Secrétaire général du SNTE, lors d'une conférence de presse tenue ce samedi.
Il a souligné que le syndicat exige que le ministre des Finances signe l’arrêté faisant répartition de ces fonds et procède au paiement le plus rapidement possible. « Nous attirons l’attention du président de la République que ses directives n’ont pas été respectées par le ministre Abdoulaye Daouda Diallo », a-t-il déclaré.
D’après M. Kane, les agents de l’Elevage exigent également : le paiement immédiat et sans délai, et à tous les agents du ministère dirigé par Aly Saleh Diop, titulaires et contractuels, des primes prévues dans le cadre du fonds d’intervention, la levée de la suspension du fonds pastoral pour moderniser le secteur de l’Elevage dont les services déconcentrés sont dans un état de délabrement avancé et les agents restent dépourvus de moyens de fonctionnement : motos, matériel et consommables informatiques, mobilier de bureau.
Ils réclament aussi l’instauration d’une prime de risque pour le personnel de l’élevage, la construction, la réhabilitation et l’équipement des services d’élevage ainsi que la gestion démocratique et efficiente du personnel.
À défaut de satisfaction, plusieurs actions sont prévues après l’expiration du préavis de grève, le 19 septembre 2022. « Nous comptons observer l’arrêt de la vaccination sur l’ensemble du territoire national, procéder à la fermeture des abattoirs, d’arrêter le contrôle des aires d’abattage et des denrées alimentaires, et observer un sit-in suivi de conférence de presse sur toute l’étendue du territoire », a lancé le syndicaliste.
Entre autres activités, Ils prévoient également le boycott de la campagne de vaccination et la rétention des informations zoo sanitaires, observer un arrêt total de travail et suspension des contrôles aux abattoirs lors des grands évènements. Une grève de la faim n’est pas écartée par les syndicalistes.
Le Témoin
Il a souligné que le syndicat exige que le ministre des Finances signe l’arrêté faisant répartition de ces fonds et procède au paiement le plus rapidement possible. « Nous attirons l’attention du président de la République que ses directives n’ont pas été respectées par le ministre Abdoulaye Daouda Diallo », a-t-il déclaré.
D’après M. Kane, les agents de l’Elevage exigent également : le paiement immédiat et sans délai, et à tous les agents du ministère dirigé par Aly Saleh Diop, titulaires et contractuels, des primes prévues dans le cadre du fonds d’intervention, la levée de la suspension du fonds pastoral pour moderniser le secteur de l’Elevage dont les services déconcentrés sont dans un état de délabrement avancé et les agents restent dépourvus de moyens de fonctionnement : motos, matériel et consommables informatiques, mobilier de bureau.
Ils réclament aussi l’instauration d’une prime de risque pour le personnel de l’élevage, la construction, la réhabilitation et l’équipement des services d’élevage ainsi que la gestion démocratique et efficiente du personnel.
À défaut de satisfaction, plusieurs actions sont prévues après l’expiration du préavis de grève, le 19 septembre 2022. « Nous comptons observer l’arrêt de la vaccination sur l’ensemble du territoire national, procéder à la fermeture des abattoirs, d’arrêter le contrôle des aires d’abattage et des denrées alimentaires, et observer un sit-in suivi de conférence de presse sur toute l’étendue du territoire », a lancé le syndicaliste.
Entre autres activités, Ils prévoient également le boycott de la campagne de vaccination et la rétention des informations zoo sanitaires, observer un arrêt total de travail et suspension des contrôles aux abattoirs lors des grands évènements. Une grève de la faim n’est pas écartée par les syndicalistes.
Le Témoin