Les événements de mars de 2022, et le bilan macabre qui en a découlé, sont encore gravés dans les mémoires. Les rappeurs de la banlieue sensibilisent les jeunes pour que pareille situation ne se reproduise plus. L’invite de ces chanteurs de rap se prête au contexte actuel marqué par une tension politique entre les coalitions Benno Bokk Yaakaar et Yewwi Askan Wi, relate LeQuotidien.
« Récemment, nous avons assisté aux événements du mois de mars passé avec 14 morts. Aujourd’hui, les vrais perdants de ces 14 morts, c’est leurs familles. Aujourd’hui, on est là pour dire, plus jamais ça ! » a déclaré le rappeur Red Black à la Rfm.
Les rappeurs de la banlieue s’opposent aux manifestations politiques de ce mercredi 8 juin. Ils sont, du moins, contre les mobilisations de Benno Bokk Yaakaar et de Yewwi Askan Wi.
« On est là pour parler à ces politiciens-là qui utilisent la jeunesse comme canons à chairs à arrêter. Vous n’avez jamais entendu au Sénégal, un politique qui a perdu un de ses proches ou un de ses fils. Mais ce sont ces jeunes-là qu’on sacrifie à chaque fois. On doit préserver nos filles, nos neveux, les enfants. L’heure est venue de conscientiser ces jeunes pour qu’ils comprennent que ces politiciens qui les envoient au front ne le font que pour leurs propres intérêts » a encore dit le rappeur réputé pour ces tubes de campagnes électorales notamment « Goorgui deena » et « Goorgui na dem ».
Les rappeurs de la banlieue restent engagés pour la préservation de la paix.
« Récemment, nous avons assisté aux événements du mois de mars passé avec 14 morts. Aujourd’hui, les vrais perdants de ces 14 morts, c’est leurs familles. Aujourd’hui, on est là pour dire, plus jamais ça ! » a déclaré le rappeur Red Black à la Rfm.
Les rappeurs de la banlieue s’opposent aux manifestations politiques de ce mercredi 8 juin. Ils sont, du moins, contre les mobilisations de Benno Bokk Yaakaar et de Yewwi Askan Wi.
« On est là pour parler à ces politiciens-là qui utilisent la jeunesse comme canons à chairs à arrêter. Vous n’avez jamais entendu au Sénégal, un politique qui a perdu un de ses proches ou un de ses fils. Mais ce sont ces jeunes-là qu’on sacrifie à chaque fois. On doit préserver nos filles, nos neveux, les enfants. L’heure est venue de conscientiser ces jeunes pour qu’ils comprennent que ces politiciens qui les envoient au front ne le font que pour leurs propres intérêts » a encore dit le rappeur réputé pour ces tubes de campagnes électorales notamment « Goorgui deena » et « Goorgui na dem ».
Les rappeurs de la banlieue restent engagés pour la préservation de la paix.