Concrètement, l’histoire atteste de l’utilisation des préservatifs depuis plusieurs millénaires. En effet, on sait que 3000 ans av. J.-C, les Égyptiens notamment ne voulaient pas contracter des maladies vénériennes lors des rapports sexuels. Pour ce faire, ils utilisaient des boyaux de mouton et des morceaux de vessies de porcs. Ensuite, le préservatif se transforma petit à petit avec le recours à des matières telles que le velours, la soie et autres tissus.
Les objectifs de l’utilisation de ces préservatifs étaient similaires à ceux d’aujourd’hui: ne pas avoir de maladies et comme moyen de contraception.
À partir de 1844, un certain Charles Goodyear développa la production de masse des préservatifs en caoutchouc avec les mêmes procédés que pour la production des pneus. Ce préservatif en caoutchouc initial était réutilisable et lavable. C’est à partir des années 1880 que le préservatif fut produit en latex, un modèle qui se démocratisa lentement.
Dès la 1re Guerre mondiale, le développement des préservatifs augmenta en production, car les soldats avaient contracté de nombreuses maladies vénériennes en fréquentant notamment les péripatéticiennes durant leur périple.
Sinon, avant le XIXe siècle et la production de masse, les préservatifs étaient fabriqués à base d’intestins d’animaux de ferme. On peut trouver cela dérangeant, sale, malvenu, mais toujours est-il que cela fait partie de notre patrimoine culturel et historique. Il faut faire un lien entre l’apparition des préservatifs en caoutchouc avec les recherches en sciences physiques et chimiques durant le XIXe siècle.
Auparavant, les recherches dans ces domaines existaient déjà , mais étaient encore balbutiantes, d’où l’apparition de ces inventions en même temps que l’intensification des progrès en sciences dites «dures».
Le préservatif est à ce jour le meilleur moyen pour prévenir les maladies sexuellement transmissibles, par conséquent, n’hésitez surtout pas à les utiliser.
Les objectifs de l’utilisation de ces préservatifs étaient similaires à ceux d’aujourd’hui: ne pas avoir de maladies et comme moyen de contraception.
À partir de 1844, un certain Charles Goodyear développa la production de masse des préservatifs en caoutchouc avec les mêmes procédés que pour la production des pneus. Ce préservatif en caoutchouc initial était réutilisable et lavable. C’est à partir des années 1880 que le préservatif fut produit en latex, un modèle qui se démocratisa lentement.
Dès la 1re Guerre mondiale, le développement des préservatifs augmenta en production, car les soldats avaient contracté de nombreuses maladies vénériennes en fréquentant notamment les péripatéticiennes durant leur périple.
Sinon, avant le XIXe siècle et la production de masse, les préservatifs étaient fabriqués à base d’intestins d’animaux de ferme. On peut trouver cela dérangeant, sale, malvenu, mais toujours est-il que cela fait partie de notre patrimoine culturel et historique. Il faut faire un lien entre l’apparition des préservatifs en caoutchouc avec les recherches en sciences physiques et chimiques durant le XIXe siècle.
Auparavant, les recherches dans ces domaines existaient déjà , mais étaient encore balbutiantes, d’où l’apparition de ces inventions en même temps que l’intensification des progrès en sciences dites «dures».
Le préservatif est à ce jour le meilleur moyen pour prévenir les maladies sexuellement transmissibles, par conséquent, n’hésitez surtout pas à les utiliser.