Lors de l’émission Les affaires de la cité sur la TFM, le Président du Grand Parti attirait l’attention des sénégalais sur le décalage entre les objectifs annoncés et la faiblesse des moyens prévus par le PSE (7,8% des ressources globales du PAP soit 231 milliards pour l’agriculture sur l’intervalle 2013-2018. il avait donc émis des réserves sur l’auto suffisance en riz dés 2017.
Il a même rappelé lors du démarrage de sa tournée à Nguékhokh, que le PSE ne traduisait aucunement une réalité en terme de postulat de développement économique pour notre pays. Le directeur de Cabinet du Président de la République M. Omar Youm avait fait une sortie pour lui demandé de revoir ses cours d’économies, ce qui est paradoxal surtout c’est quand le maîtrisard en droit, sous l’inspiration du Président géologue demande au docteur es économie de revoir ses cours.
Le Président de la Plateforme des Initiatives du Nord, Ibrahima LY, dans la livraison du quotidien Walfadjiri du 31 Août 2015, affirme avec courage, que la production de cette année devrait tourner autour de 350 mille tonnes en riz paddy sur un objectif de 1,5 million de tonnes sur l’horizon 2017, soit 23% d’objectifs atteints, alors qu’on est à 15 mois de 2017.
Cela veut que sur cette période, il va falloir multiplier les moyens d’interventions du gouvernement par quatre. M. Ly a même recommandé au gouvernement de faire deux campagne par an et de rehausser à hauteur de centaines de milliards l’investissement dans le secteur afin d’aménager d’autre terres arables d’ici quelques mois.
En plus, le taux de croissance de 4,9% en 2014, devrait tourner autour de 4,5% en 2015 soit une baisse de 0.4%. Alors qu’en 2015 le PSE avait fixé l’objectif d’atteindre en croissance 6,9% et 7,9% dés 2016.
Ce que Président Gackou veut faire comprendre, c’est qu’on ne peut atteindre 8% de croissance en 2018 sans qu’un certain nombre de paradigmes économiques ne soient intégrés dans nos modèles économiques.
La Malaisie, le Brésil, Singapour, tous ces Etats mettent en œuvre des modèles qui reposent essentiellement sur le travail et la production interne, mais pas avec l’endettement étranger.
Pour lui, la production et un environnement d’éclosion des PME-PMI reste le seul chemin qui mène vers le développement.
Le Président Gakou pense également que, tout en faisant attention à l’endettement négatif, il faut mettre des moyens substantiels sur l’agriculture afin d’augmenter la Production Intérieur Brut (PIB).
Malick GUEYE
Ingénieur en Finance
Ex conseiller technique du Président Assemblée Nationale
SG de la convention des jeunes du Grand Parti
Il a même rappelé lors du démarrage de sa tournée à Nguékhokh, que le PSE ne traduisait aucunement une réalité en terme de postulat de développement économique pour notre pays. Le directeur de Cabinet du Président de la République M. Omar Youm avait fait une sortie pour lui demandé de revoir ses cours d’économies, ce qui est paradoxal surtout c’est quand le maîtrisard en droit, sous l’inspiration du Président géologue demande au docteur es économie de revoir ses cours.
Le Président de la Plateforme des Initiatives du Nord, Ibrahima LY, dans la livraison du quotidien Walfadjiri du 31 Août 2015, affirme avec courage, que la production de cette année devrait tourner autour de 350 mille tonnes en riz paddy sur un objectif de 1,5 million de tonnes sur l’horizon 2017, soit 23% d’objectifs atteints, alors qu’on est à 15 mois de 2017.
Cela veut que sur cette période, il va falloir multiplier les moyens d’interventions du gouvernement par quatre. M. Ly a même recommandé au gouvernement de faire deux campagne par an et de rehausser à hauteur de centaines de milliards l’investissement dans le secteur afin d’aménager d’autre terres arables d’ici quelques mois.
En plus, le taux de croissance de 4,9% en 2014, devrait tourner autour de 4,5% en 2015 soit une baisse de 0.4%. Alors qu’en 2015 le PSE avait fixé l’objectif d’atteindre en croissance 6,9% et 7,9% dés 2016.
Ce que Président Gackou veut faire comprendre, c’est qu’on ne peut atteindre 8% de croissance en 2018 sans qu’un certain nombre de paradigmes économiques ne soient intégrés dans nos modèles économiques.
La Malaisie, le Brésil, Singapour, tous ces Etats mettent en œuvre des modèles qui reposent essentiellement sur le travail et la production interne, mais pas avec l’endettement étranger.
Pour lui, la production et un environnement d’éclosion des PME-PMI reste le seul chemin qui mène vers le développement.
Le Président Gakou pense également que, tout en faisant attention à l’endettement négatif, il faut mettre des moyens substantiels sur l’agriculture afin d’augmenter la Production Intérieur Brut (PIB).
Malick GUEYE
Ingénieur en Finance
Ex conseiller technique du Président Assemblée Nationale
SG de la convention des jeunes du Grand Parti