«Nous avons été déçus simplement parce que s’il fallait au moins y mettre la forme, en mettant fin à la détention arbitraire. Et puis enclencher le processus de levée de l’immunité. Comme ils sont majoritaires à l’Assemblée nationale et ils seraient parvenus au même résultat, et ce, de façon très honorable et très digne », s’est d’abord, indigné, lundi, sur Rfm, la robe noire.
Pour autant, il pense qu’il faut prendre acte et se tourner ailleurs pour se faire entendre. «Là, tout citoyen a honte de nos institutions. Et c’est dommage. Je pense qu’il faut prendre acte et regretter que les institutions volent aussi bas. On ne peut rien attendre aussi bien du pouvoir exécutif, du pouvoir législatif que du pouvoir judiciaire », a-t-il soutenu.
Et de poursuivre : « personnellement je n’ai plus confiance à nos institutions parce qu'avant, on mettait la forme mais maintenant, c’est une forme de violence insidieuse où on manipule les institutions et où on parvient à des fins vaille que vaille ».
« Donc, il n’y a que les institutions extérieures qui peuvent être saisies où on peut espérer avoir peut-être un résultat, a-t-il dit, révélant qu’il y avait des recours qui étaient déjà prêts, qui attendaient d’être introduits, notamment au niveau régional, de la Cedeao. " Parce que c’est l’institution à portée de main, qui peut rendre plus rapidement une décision de justice ", a dit, pour se rassurer Me Ciré Clédor Ly. Selon lui, ce qui arrive à Khalifa Sall est « une élimination politique comme on a tenté de le faire avec Karim… ».
Pour autant, il pense qu’il faut prendre acte et se tourner ailleurs pour se faire entendre. «Là, tout citoyen a honte de nos institutions. Et c’est dommage. Je pense qu’il faut prendre acte et regretter que les institutions volent aussi bas. On ne peut rien attendre aussi bien du pouvoir exécutif, du pouvoir législatif que du pouvoir judiciaire », a-t-il soutenu.
Et de poursuivre : « personnellement je n’ai plus confiance à nos institutions parce qu'avant, on mettait la forme mais maintenant, c’est une forme de violence insidieuse où on manipule les institutions et où on parvient à des fins vaille que vaille ».
« Donc, il n’y a que les institutions extérieures qui peuvent être saisies où on peut espérer avoir peut-être un résultat, a-t-il dit, révélant qu’il y avait des recours qui étaient déjà prêts, qui attendaient d’être introduits, notamment au niveau régional, de la Cedeao. " Parce que c’est l’institution à portée de main, qui peut rendre plus rapidement une décision de justice ", a dit, pour se rassurer Me Ciré Clédor Ly. Selon lui, ce qui arrive à Khalifa Sall est « une élimination politique comme on a tenté de le faire avec Karim… ».