Les acteurs de la pêche de Cayar s’organisent pour une meilleure prise en charge de leurs préoccupations. C’est dans ce cadre que le ministre de la Pêche et de l’Economie maritime, Alioune Ndoye, est venu procéder au lancement de la fédération des femmes actives de la pêche de Cayar. Il a salué l’initiative, estimant qu’il a maintenant un interlocuteur connu, organisé et regroupant les différents acteurs. Pour Alioune Ndoye, c’est en ayant des structures de ce genre qu’on peut être plus sûr du travail fait. Les femmes ont demandé des financements pour mieux opérationnaliser leurs activités économiques.
Et le ministre Alioune Ndoye a déclaré qu’il sera leur avocat auprès de sa collègue de la Femme. La commune de Cayar est réputée pour ses efforts constants dans la protection et la gestion responsable de la ressource halieutique. Ce qui cache mal les difficultés que vivent les acteurs, conséquemment à la raréfaction des ressources. Ces derniers ont soutenu devant le ministre Alioune Ndoye que la pêche artisanale était marquée à Cayar par une campagne qui démarrait en novembre pour s’achever au mois de juin, soit 9 mois. Et à cette occasion, la population triplait et le nombre de pirogues passait de 1302 à 3000 pirogues. Mais aujourd’hui, se désolent-ils en chœur, il n’y a plus rien et certains migrent même vers Joal, Cap Skiring et Kafountine. Les pêcheurs ont pointé du doigt la pêche industrielle comme étant à la base de tous leurs malheurs. Rapporte Vipeoples .
Et le ministre Alioune Ndoye a déclaré qu’il sera leur avocat auprès de sa collègue de la Femme. La commune de Cayar est réputée pour ses efforts constants dans la protection et la gestion responsable de la ressource halieutique. Ce qui cache mal les difficultés que vivent les acteurs, conséquemment à la raréfaction des ressources. Ces derniers ont soutenu devant le ministre Alioune Ndoye que la pêche artisanale était marquée à Cayar par une campagne qui démarrait en novembre pour s’achever au mois de juin, soit 9 mois. Et à cette occasion, la population triplait et le nombre de pirogues passait de 1302 à 3000 pirogues. Mais aujourd’hui, se désolent-ils en chœur, il n’y a plus rien et certains migrent même vers Joal, Cap Skiring et Kafountine. Les pêcheurs ont pointé du doigt la pêche industrielle comme étant à la base de tous leurs malheurs. Rapporte Vipeoples .