L'opération a été menée au petit matin et n’était pas le fruit du hasard, précise la préfecture maritime de l'Atlantique, dans l'ouest de la France : le navire brésilien de 21 mètres était surveillé depuis plusieurs jours. Au moment de l'opération, un groupement tactique de l'armée de terre se trouve à bord du Tonnerre, un porte hélicoptère amphibie français dont l'équipage est composé de plus de 200 personnes. Appuyés par un Falcon 50 et par deux hélicoptères, les Français procèdent à une fouille du navire brésilien, « au large du Sénégal ». Ils découvrent des ballots qui, au total, contiennent 4,6 tonnes de cocaïne, avec une valeur estimée à environ 150 millions d'euros.
La préfecture maritime de l'Atlantique ne donne pas de détail sur la route du bateau ni sur sa destination finale : Europe, ou Afrique... les deux possibilités peuvent être envisagées. Les produits sont saisis, détruits à bord, selon la préfecture maritime, qui ne précise pas la méthode utilisée pour la destruction. L'équipage lui a été laissé libre. À la préfecture de Brest, on indique que la France a fait le choix, depuis plusieurs années, de dissocier l'équipage et la cargaison.
RFI
La préfecture maritime de l'Atlantique ne donne pas de détail sur la route du bateau ni sur sa destination finale : Europe, ou Afrique... les deux possibilités peuvent être envisagées. Les produits sont saisis, détruits à bord, selon la préfecture maritime, qui ne précise pas la méthode utilisée pour la destruction. L'équipage lui a été laissé libre. À la préfecture de Brest, on indique que la France a fait le choix, depuis plusieurs années, de dissocier l'équipage et la cargaison.
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