Courte queue se paie par courte queue. Cet adage, Assimi Goita en a fait sienne, en guise de représailles contre les sanctions de la Cedeao.
Et, les Casques bleus sénégalais sous mandat de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (Minusma), sont interdits d’entrée à Bamako.
Les éléments du 10e bataillon présents sur zone doivent être relevés par ceux en provenance de Dakar.
Mais depuis un mois, ils sont bloqués en terre malienne. La relève ne pouvant pas quitter la capitale sénégalaise pour survoler le territoire malien.
Il s’agit d’une mesure de réciprocité appliquée par la junte malienne contre un pays membre de la CEDEAO, qui a suspendu de ses instances et isolé le Mali.
«Le contingent est toujours là et celui qui est au Mali, attend la relève», s’est contenté de déclarer un officier supérieur sénégalais, interrogé par "Le Quotidien".
Salgado acquiesce : «Tous les vols utilisés pour la relève des troupes à destination ou en provenance du Mali, sont soumis aux autorisations de survol et d’atterrissage du gouvernement malien. Nous poursuivons activement nos démarches auprès des autorités maliennes, sur la base des arrangements qui gouvernent le déploiement et les opérations de la Minusma».
Toutefois, regrette le porte-parole de la Minusma, le retard dans le déploiement des Casques bleus sénégalais, affecte «le moral des troupes concernées (et) leur efficacité opérationnelle».
Et, les Casques bleus sénégalais sous mandat de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (Minusma), sont interdits d’entrée à Bamako.
Les éléments du 10e bataillon présents sur zone doivent être relevés par ceux en provenance de Dakar.
Mais depuis un mois, ils sont bloqués en terre malienne. La relève ne pouvant pas quitter la capitale sénégalaise pour survoler le territoire malien.
Il s’agit d’une mesure de réciprocité appliquée par la junte malienne contre un pays membre de la CEDEAO, qui a suspendu de ses instances et isolé le Mali.
«Le contingent est toujours là et celui qui est au Mali, attend la relève», s’est contenté de déclarer un officier supérieur sénégalais, interrogé par "Le Quotidien".
Salgado acquiesce : «Tous les vols utilisés pour la relève des troupes à destination ou en provenance du Mali, sont soumis aux autorisations de survol et d’atterrissage du gouvernement malien. Nous poursuivons activement nos démarches auprès des autorités maliennes, sur la base des arrangements qui gouvernent le déploiement et les opérations de la Minusma».
Toutefois, regrette le porte-parole de la Minusma, le retard dans le déploiement des Casques bleus sénégalais, affecte «le moral des troupes concernées (et) leur efficacité opérationnelle».