Août 1929. C’était l’époque ou il venait passer quelques semaines de vacances à Annecy et retrouvait son ami annécien Jean Favre, domicilié avenue des îles, aux abords de la place des Romains.
Le « père de la Négritude » accompagnait en ce temps-là la famille Diagne, habituée de la pension Mirabeau, tenue par Mme Grange et située avenue des îles.
Excellent nageur, Leopold Sedar Senghor appréciait les plongeons dans le lac, au bord duquel il se plaisait à déclamer des vers de Rimbaud et Verlaine, assis au bout de la digue des Marquisats. Aujourd’hui disparue, il savait faire apprécier ses œuvres poétiques a des amis médusés par la science du verbe naissant.
Vipeoples.net
Le « père de la Négritude » accompagnait en ce temps-là la famille Diagne, habituée de la pension Mirabeau, tenue par Mme Grange et située avenue des îles.
Excellent nageur, Leopold Sedar Senghor appréciait les plongeons dans le lac, au bord duquel il se plaisait à déclamer des vers de Rimbaud et Verlaine, assis au bout de la digue des Marquisats. Aujourd’hui disparue, il savait faire apprécier ses œuvres poétiques a des amis médusés par la science du verbe naissant.
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