«Il y a eu des contestations sur la fixation de la date des élections le 21 septembre. Par la suite, le 28 septembre, les discussions entre le pouvoir et l’opposition n’ont pas abouti. Le président de la République a demandé un avis au Conseil constitutionnel mais certains éléments de cet avis concernant le processus électoral n’ont pas été communiqués à l’opposition, ce qui est une rupture d’égalité», reconnaît Birahim Seck.
Selon nos confrères, il a assuré que ses représentants dans les 46 départements «ont assez bien appris et sont prêts pour une observation à long terme du scrutin», avant d’annoncer «un Top team sur la violence électorale, la corruption électorale, c’est à dire l’achat de consciences et le processus électoral de manière générale».
Selon nos confrères, il a assuré que ses représentants dans les 46 départements «ont assez bien appris et sont prêts pour une observation à long terme du scrutin», avant d’annoncer «un Top team sur la violence électorale, la corruption électorale, c’est à dire l’achat de consciences et le processus électoral de manière générale».