Le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan montre l’intérêt que l’Etat du Sénégal porte sur le secteur privé et surtout le secteur des assurances. Selon lui, le secteur privé assuré aujourd’hui, se développe avec un taux de croissance moyen supérieur à 10% sur les trois dernières années tirées par l’assurance-vie, qui connait un taux de croissance supérieur à 20%. Ce qui est un bon indicateur.
La phase 1 de ce plan a vu l’économie sénégalaise amorcer une rupture dans son cycle de croissance avec un taux moyen de croissance supérieur à 6% frôlant même 7% par moment sur les trois premières années d’exécution.
« Les travaux d’élaboration de la phase 2 du PSE 2019-2023 viennent de démarrer dans mon département », a dit le ministre qui réaffirme les attentes qui pèsent sur le secteur privé, dont le dynamisme devrait permettre de conforter la croissance de façon durable pour une transformation structurelle de l’économie.
Il demande une implication beaucoup plus forte du secteur privé pour maintenir cette croissance à moyen terme. « Le secteur financier et le secteur de l’assurance doivent jouer un rôle important », a-t-il évoqué.
Pour le directeur général de la Direction du secteur financier et de la compétitivité (DGSFC), Papa Amadou Sarr, « la fiscalité dans le domaine de l’assurance pose quelques de difficultés. Et la pénétration de l’assurance de l’Afrique est trop faible, 1% du PIB, loin de 5% de l’Asie dont la marge est énorme ».
Le ministre M. Amadou Ba en guise de réponse, a affirmé : « Les mesures sur le plan fiscales ont été prises par le pouvoir public pour renforcer la capacité du secteur et incitant les entreprises à souscrire dans les produits d’assurance de la branche vie ».
En sus de cela, le directeur a également déclaré que « le futur de l’assurance en Afrique passerait par la micro-assurance comme l’a fait la micro-finance et aussi le numérique. Cela va demander une innovation ».
Selon lui, le secteur de l’assurance pourrait être un vecteur fondamentale pour nous aider atteindre nos objectifs de croissance et de réduction de la pauvreté, en utilisant ce secteur comme un levier important de financement à long terme de notre économie.
Par ailleurs, pour finir, selon Amadou Bâ, notre pays constitue un important gisement d’affaires et de croissance. Notamment les découvertes récentes de pétrole et de gaz qui ouvrent une belle perspective autour d’une industrie pétrolière. Une nouvelle industrie qui suscitera de nouveaux besoins d’assurance avec des risques aussi variés que les activités d’exploration, de production et de distribution.
Thierno Malick Ndiaye
La phase 1 de ce plan a vu l’économie sénégalaise amorcer une rupture dans son cycle de croissance avec un taux moyen de croissance supérieur à 6% frôlant même 7% par moment sur les trois premières années d’exécution.
« Les travaux d’élaboration de la phase 2 du PSE 2019-2023 viennent de démarrer dans mon département », a dit le ministre qui réaffirme les attentes qui pèsent sur le secteur privé, dont le dynamisme devrait permettre de conforter la croissance de façon durable pour une transformation structurelle de l’économie.
Il demande une implication beaucoup plus forte du secteur privé pour maintenir cette croissance à moyen terme. « Le secteur financier et le secteur de l’assurance doivent jouer un rôle important », a-t-il évoqué.
Pour le directeur général de la Direction du secteur financier et de la compétitivité (DGSFC), Papa Amadou Sarr, « la fiscalité dans le domaine de l’assurance pose quelques de difficultés. Et la pénétration de l’assurance de l’Afrique est trop faible, 1% du PIB, loin de 5% de l’Asie dont la marge est énorme ».
Le ministre M. Amadou Ba en guise de réponse, a affirmé : « Les mesures sur le plan fiscales ont été prises par le pouvoir public pour renforcer la capacité du secteur et incitant les entreprises à souscrire dans les produits d’assurance de la branche vie ».
En sus de cela, le directeur a également déclaré que « le futur de l’assurance en Afrique passerait par la micro-assurance comme l’a fait la micro-finance et aussi le numérique. Cela va demander une innovation ».
Selon lui, le secteur de l’assurance pourrait être un vecteur fondamentale pour nous aider atteindre nos objectifs de croissance et de réduction de la pauvreté, en utilisant ce secteur comme un levier important de financement à long terme de notre économie.
Par ailleurs, pour finir, selon Amadou Bâ, notre pays constitue un important gisement d’affaires et de croissance. Notamment les découvertes récentes de pétrole et de gaz qui ouvrent une belle perspective autour d’une industrie pétrolière. Une nouvelle industrie qui suscitera de nouveaux besoins d’assurance avec des risques aussi variés que les activités d’exploration, de production et de distribution.
Thierno Malick Ndiaye