A la barre, la plaignante est revenue sur les faits de l’espèce. A l’en croire, ils ont fait connaissance parce qu’ils devaient discuter des termes d’un contrat d’animation d’un mariage. Après un échange téléphonique, Yama a ainsi invité le prévenu dans son appartement, afin de discuter de vive voix des termes du contrat. Elle n’a jamais douté qu’elle avait affaire avec quelqu’un qui la désirait, quelqu’un qui appréciait ses rondeurs. Dans l’appartement, ils ont, dans un premier temps, commencé à discuter.
Le jeune, très à l’aise, parlait de tout et de rien. Quelques minutes plus tard, il lui a demandé un verre d’eau pour étancher sa soif. Alors qu’elle s’est levée pour aller lui chercher de l’eau, Amadou Diallo, tel un tigre sur sa proie, s’est jeté sur l’animatrice. Il a réussi à la neutraliser avec l’aide d’un couteau. Il a passé son bras autour du coup, avant de demander à la dame d’ôter son pantalon. Gagnée par la peur, yama s’exécute. C’est le nirvana pour le jeune guinéen qui a commencé à frotter son sexe sur les fesses de l’animatrice.
Le mis en cause a décidé de passer à la vitesse, en essayant vainement de la pénétrer. Ils sont tombés, par la suite, dans le lit. Mais, Yama s’en est sortie indemne. «Yama était d’accord pour une partie de jambes en l’air moyennant 300 mille francs. Elle m’a donné un préservatif et a commencé à tripoter mon zizi». Cependant, les accusations de l’animatrice de la Sen Tv sont complètement opposées avec la défense du prévenu. Celui-ci a fait savoir que l’animatrice était d’accord pour une partie de jambes en l’air et ils en ont discuté, avant qu’il ne débarque à l’appartement.
«Quand on s’est vus, on s’était fixé rendez-vous dans son appartement. Lorsque je suis entré dans la pièce, je lui ai clairement signifié que je la désirais et que je voulais entretenir des rapports sexuels avec elle. Ce qu’elle a accepté d’ailleurs», a déclaré le prévenu. Etayant ses propos, il ajoute : «Elle m’a réclamé en contrepartie la somme de 300 mille francs CFA que je devais lui remettre après la partie de jambes à l’air. On était tombés d’accord. Yama m’a remis un préservatif, mais je ne pouvais pas le remettre d’autant que je n’étais pas en érection. Elle a commencé à caresser mon zizi. On était tous les deux chauds et on a fini dans le lit. Après l’acte sexuel, je lui ai remis l’enveloppe qui, en réalité, ne contenait aucun franc. C’était une enveloppe vierge. Cette situation l’a mise dans tous ses états et elle a commencé à crier au voleur.»
Yama réclame 1 million à son présumé bourreau Le prévenu a juré la main sur le cœur qu’il n’a jamais tenté de violer la dame mais, dit-il, c’était une partie de jambes en l’air qui a mal tourné d’autant qu’il n’a pas satisfait sa part du contrat. D’après lui, s’il avait remis les 300 mille francs à yama après la conjonction sexuelle, il n’y aurait pas tout ce problème. L’avocat commis pour défendre les intérêts de l’animatrice, après avoir tenté, pendant plus d’une demi-heure, de démontrer la constance des faits, a demandé, à titre de dommages et intérêts, la somme d’un million de francs CFA.
Le maitre des poursuites, dans ses réquisitions, a révélé que le prévenu est coutumier car, il a, dans le passé, été condamné pour des faits similaires à 6 mois de prison ferme. Estimant que les faits de l’espèce ne souffrent d’aucune contestation, il a requis 5 ans de prison ferme. N’ayant pas commis d’avocat pour assurer sa défense, le prévenu a campé sur sa position en soutenant mordicus qu’il n’a ja- mais tenté de violer la dame.
SOURCE LIBERATION
Le jeune, très à l’aise, parlait de tout et de rien. Quelques minutes plus tard, il lui a demandé un verre d’eau pour étancher sa soif. Alors qu’elle s’est levée pour aller lui chercher de l’eau, Amadou Diallo, tel un tigre sur sa proie, s’est jeté sur l’animatrice. Il a réussi à la neutraliser avec l’aide d’un couteau. Il a passé son bras autour du coup, avant de demander à la dame d’ôter son pantalon. Gagnée par la peur, yama s’exécute. C’est le nirvana pour le jeune guinéen qui a commencé à frotter son sexe sur les fesses de l’animatrice.
Le mis en cause a décidé de passer à la vitesse, en essayant vainement de la pénétrer. Ils sont tombés, par la suite, dans le lit. Mais, Yama s’en est sortie indemne. «Yama était d’accord pour une partie de jambes en l’air moyennant 300 mille francs. Elle m’a donné un préservatif et a commencé à tripoter mon zizi». Cependant, les accusations de l’animatrice de la Sen Tv sont complètement opposées avec la défense du prévenu. Celui-ci a fait savoir que l’animatrice était d’accord pour une partie de jambes en l’air et ils en ont discuté, avant qu’il ne débarque à l’appartement.
«Quand on s’est vus, on s’était fixé rendez-vous dans son appartement. Lorsque je suis entré dans la pièce, je lui ai clairement signifié que je la désirais et que je voulais entretenir des rapports sexuels avec elle. Ce qu’elle a accepté d’ailleurs», a déclaré le prévenu. Etayant ses propos, il ajoute : «Elle m’a réclamé en contrepartie la somme de 300 mille francs CFA que je devais lui remettre après la partie de jambes à l’air. On était tombés d’accord. Yama m’a remis un préservatif, mais je ne pouvais pas le remettre d’autant que je n’étais pas en érection. Elle a commencé à caresser mon zizi. On était tous les deux chauds et on a fini dans le lit. Après l’acte sexuel, je lui ai remis l’enveloppe qui, en réalité, ne contenait aucun franc. C’était une enveloppe vierge. Cette situation l’a mise dans tous ses états et elle a commencé à crier au voleur.»
Yama réclame 1 million à son présumé bourreau Le prévenu a juré la main sur le cœur qu’il n’a jamais tenté de violer la dame mais, dit-il, c’était une partie de jambes en l’air qui a mal tourné d’autant qu’il n’a pas satisfait sa part du contrat. D’après lui, s’il avait remis les 300 mille francs à yama après la conjonction sexuelle, il n’y aurait pas tout ce problème. L’avocat commis pour défendre les intérêts de l’animatrice, après avoir tenté, pendant plus d’une demi-heure, de démontrer la constance des faits, a demandé, à titre de dommages et intérêts, la somme d’un million de francs CFA.
Le maitre des poursuites, dans ses réquisitions, a révélé que le prévenu est coutumier car, il a, dans le passé, été condamné pour des faits similaires à 6 mois de prison ferme. Estimant que les faits de l’espèce ne souffrent d’aucune contestation, il a requis 5 ans de prison ferme. N’ayant pas commis d’avocat pour assurer sa défense, le prévenu a campé sur sa position en soutenant mordicus qu’il n’a ja- mais tenté de violer la dame.
SOURCE LIBERATION