200 entreprises évoluant dans le secteur de l’industrie, ont mis la clé sous le paillasson au Sénégal. La révélation a été faite par le Ministre du Commerce et de l’Industrie Serigne Gueye Diop. Il s’exprimait hier, jeudi 17 octobre 2024, lors de l’ouverture des états généraux de l’Industrie et du Commerce. Selon lui, une étude allant dans ce sens a été menée par le ministère de l’Industrie et du Commerce, en prélude aux états généraux. Parmi ces industries fermées, indique-t-il, figurent la Sotiba et la Sotexka, deux usines textiles qui faisaient partie des plus grandes industries du pays. Cependant, le Ministre assure que le gouvernement va protéger l’industrie sénégalaise des risques auxquels elle peut être confrontée, y compris la concurrence déloyale menée par certains acteurs, rapporte "Sudquotidien.sn".
« Je peux vous dire que nous allons protéger notre industrie, comme le font d’autres pays. On ne peut pas développer notre industrie sans des barrières. On ne peut pas créer une industrie sans la protéger », promet-il. Les ambassadeurs du Japon et du Royaume-Uni ont partagé les expériences de leurs pays respectifs, dans ces secteurs d’activité. Pour sa part, l’ambassadeur du Japon au Sénégal, Osamu Izawa, a évoqué la politique industrielle de son pays, qui, selon lui, repose sur ‘’un certain protectionnisme’’.
Selon la même source, pour y arriver, il pense qu’il est nécessaire d’avoir des ressources humaines de qualité. « Le secteur privé japonais viendra profiter des opportunités qu’offrira la future politique industrielle du Sénégal », a ajouté Osamu Izawa. L’ambassadrice du Royaume-Uni au Sénégal, Juliette John, quant à elle, estime que la réussite de cet élan d’industrialisation, dépendra de la disponibilité des compétences, des infrastructures, des ressources naturelles, etc.
Elle recommande aux pouvoirs publics sénégalais, de recourir à l’économie verte, car l’industrie classique a occasionné de ‘’nombreux dégâts’’.
« Je peux vous dire que nous allons protéger notre industrie, comme le font d’autres pays. On ne peut pas développer notre industrie sans des barrières. On ne peut pas créer une industrie sans la protéger », promet-il. Les ambassadeurs du Japon et du Royaume-Uni ont partagé les expériences de leurs pays respectifs, dans ces secteurs d’activité. Pour sa part, l’ambassadeur du Japon au Sénégal, Osamu Izawa, a évoqué la politique industrielle de son pays, qui, selon lui, repose sur ‘’un certain protectionnisme’’.
Selon la même source, pour y arriver, il pense qu’il est nécessaire d’avoir des ressources humaines de qualité. « Le secteur privé japonais viendra profiter des opportunités qu’offrira la future politique industrielle du Sénégal », a ajouté Osamu Izawa. L’ambassadrice du Royaume-Uni au Sénégal, Juliette John, quant à elle, estime que la réussite de cet élan d’industrialisation, dépendra de la disponibilité des compétences, des infrastructures, des ressources naturelles, etc.
Elle recommande aux pouvoirs publics sénégalais, de recourir à l’économie verte, car l’industrie classique a occasionné de ‘’nombreux dégâts’’.