Samedi, dix membres d'une même famille ont été tués dans la province d'El Jadida. L'homme accusé de ce carnage est lui même membre de cette famille et souffrirait de troubles mentaux.
C’est un des crimes les plus atroces jamais vus au Maroc. Samedi 23 avril, la brigade de gendarmerie de Sidi Ismail, dans la province d’El Jadida (à 160 km de Rabat), est alertée pour un carnage perpétré dans le douar (village) de Lagzamra. Arrivées sur place, les forces de l’ordre sont horrifiées par la scène : dix cadavres de la même famille violemment assassinée à l’arme blanche. L’auteur présumé de la tuerie aurait tué ses deux parents, son épouse, son oncle et ses cousins ainsi que son grand oncle et d’autres proches de la famille, âgés entre 17 et 80 ans. Quatre des filles du suspect ont néanmoins été épargnées. Les gendarmes les ont retrouvées dans une des chambres de l’habitation.
L’auteur présumé, aujourd’hui incarcéré, souffrirait de troubles mentaux. Des témoignages d’habitants du douar de Lagzamra font état des « crises » que connaissait l’individu.
C’est un des crimes les plus atroces jamais vus au Maroc. Samedi 23 avril, la brigade de gendarmerie de Sidi Ismail, dans la province d’El Jadida (à 160 km de Rabat), est alertée pour un carnage perpétré dans le douar (village) de Lagzamra. Arrivées sur place, les forces de l’ordre sont horrifiées par la scène : dix cadavres de la même famille violemment assassinée à l’arme blanche. L’auteur présumé de la tuerie aurait tué ses deux parents, son épouse, son oncle et ses cousins ainsi que son grand oncle et d’autres proches de la famille, âgés entre 17 et 80 ans. Quatre des filles du suspect ont néanmoins été épargnées. Les gendarmes les ont retrouvées dans une des chambres de l’habitation.
L’auteur présumé, aujourd’hui incarcéré, souffrirait de troubles mentaux. Des témoignages d’habitants du douar de Lagzamra font état des « crises » que connaissait l’individu.