Bamba Fepp ». « Bamba Partout ». « L’omniprésent » maire de la Médina est accusé de malversations et de surfacturations portant sur un montant de 500 millions de nos francs.
« Mafia, enrichissement illicite et scandales de tout genre » ! Le Collectif pour la sauvegarde des intérêts de la Médina (CSIM), piloté par Amadou Sow, ne s’accommode plus des agissements du successeur de Biram Sassoum Sy à la tête de cette institution municipale qu’il s’assimile « à une gabegie sans précédent ».
Les habitants de la Médina, signataires de la pétition pour l’audit de la gestion de la commune exhortent ainsi les autorités compétentes à s’auto-saisir du dossier de malversation financière, de détournement de deniers publics, d’abus de confiance et de bien sociaux concernant la gestion de l’actuel maire Bamba Fall (couvrant la période 2009-2015).
En réalité, le dossier a été déposé par le collectif sur le bureau de l’Ofnac, l’Ige et de la Cour des Comptes depuis plusieurs mois. Dans ce dossier incriminant le maire Bamba Fall, le collectif l’accuse de détournement d’une somme estimée à plus de 12 millions F Cfa destinée aux comités de gestion des écoles préscolaires de la Médina.
Ce n’est pas tout. Le collectif enfonce Bamba Fall en l’accusant de détourner les subventions destinées aux Asc et Ocb de la Médina estimées à 10 millions de nos francs. Le « jackpot » est, selon ces Médinois, la surfacturation du budget des travaux du bloc scolaire d’un montant de 500 millions de francs.
Quid du détournement sur le budget de fonctionnement via des salaires fictifs ? Le collectif déclare détenir par devers lui des preuves matériels attestant le scandale financier de la commune de Médina dont le principal auteur n’est personne d’autre que Bamba Fall, l’actuel maire.
Dans un autre registre, le CSIM attire l’attention du sous-préfet de Dakar-Plateau et de la Division de la construction et équipement scolaire du ministère de l’Education nationale sur les risques d’effondrement du bâtiment de l’école Nago Samb de Gibraltar qui a fait l’objet d’une plainte pour non-respect du code de l’urbanisme et de l’environnement.
Ainsi, le collectif interpelle d’abord les populations de la commune de Médina, ensuite l’opinion publique, sur la situation extrêmement grave de la mairie de Médina en invitant tous les corps de contrôle de l’Etat à s’intéresser du cas Bamba Fall pour arrêter « une mafia qui ne cesse de s’enrichir illicitement sur le dos des populations de la Médina ».
Rewmi.com et Dakarmatin
« Mafia, enrichissement illicite et scandales de tout genre » ! Le Collectif pour la sauvegarde des intérêts de la Médina (CSIM), piloté par Amadou Sow, ne s’accommode plus des agissements du successeur de Biram Sassoum Sy à la tête de cette institution municipale qu’il s’assimile « à une gabegie sans précédent ».
Les habitants de la Médina, signataires de la pétition pour l’audit de la gestion de la commune exhortent ainsi les autorités compétentes à s’auto-saisir du dossier de malversation financière, de détournement de deniers publics, d’abus de confiance et de bien sociaux concernant la gestion de l’actuel maire Bamba Fall (couvrant la période 2009-2015).
En réalité, le dossier a été déposé par le collectif sur le bureau de l’Ofnac, l’Ige et de la Cour des Comptes depuis plusieurs mois. Dans ce dossier incriminant le maire Bamba Fall, le collectif l’accuse de détournement d’une somme estimée à plus de 12 millions F Cfa destinée aux comités de gestion des écoles préscolaires de la Médina.
Ce n’est pas tout. Le collectif enfonce Bamba Fall en l’accusant de détourner les subventions destinées aux Asc et Ocb de la Médina estimées à 10 millions de nos francs. Le « jackpot » est, selon ces Médinois, la surfacturation du budget des travaux du bloc scolaire d’un montant de 500 millions de francs.
Quid du détournement sur le budget de fonctionnement via des salaires fictifs ? Le collectif déclare détenir par devers lui des preuves matériels attestant le scandale financier de la commune de Médina dont le principal auteur n’est personne d’autre que Bamba Fall, l’actuel maire.
Dans un autre registre, le CSIM attire l’attention du sous-préfet de Dakar-Plateau et de la Division de la construction et équipement scolaire du ministère de l’Education nationale sur les risques d’effondrement du bâtiment de l’école Nago Samb de Gibraltar qui a fait l’objet d’une plainte pour non-respect du code de l’urbanisme et de l’environnement.
Ainsi, le collectif interpelle d’abord les populations de la commune de Médina, ensuite l’opinion publique, sur la situation extrêmement grave de la mairie de Médina en invitant tous les corps de contrôle de l’Etat à s’intéresser du cas Bamba Fall pour arrêter « une mafia qui ne cesse de s’enrichir illicitement sur le dos des populations de la Médina ».
Rewmi.com et Dakarmatin