Le directeur de lOffice du Bac, Babou Diaham regrette cette situation de fuites notées dans certaines des épreuves de l’examen du Baccalauréat de 2017. Il fait savoir que « cette situation est plus inhabituelle et moins courante, il est question de fuite ». La fuite renvoie à une situation dans laquelle tout ou une partie de l’épreuve, a été divulguée et se trouve à la disposition d’un public plus ou moins large.
Selon Babou Diaham, c’est une situation inadmissible et injustifiable, personne ne doit en tirer bénéfice. Raison pour laquelle, il importe d’abord et à titre conservatoire, d’annuler l’épreuve dès la confirmation de la fuite et de le reprogrammer avec un autre sujet.
Sur la question à savoir l’origine des dérives, le directeur de l’Office du Bac, très attendu sur cette question, répond : « Nous avons été interpellés à ce sujet, par des sources crédibles, la nuit dernière, qu’il y a eu des fuites dans certains épreuves.
Après vérification à propos du bien-fondé de ces allégations, nous avons décidé d’annuler l’épreuve de français des séries L qui devait se dérouler ce matin. Par souci d’équité, l’épreuve de français est reprogrammée ».
"Les épreuves de français et d’histoire-géographie, sont annulées et reprogrammées pour le 10 juillet à 8h", a annoncé M. Diaham, qui a, ensuite demandé à ce qu’on situe les responsabilités par une enquête administrative et judiciaire.
Babou Diaham et sa direction reconnait qu’ils ont dans l’obligation d’organiser des examens exempts de suspicion, de délivrer des titres et diplômes incontestables. Il n'a pas manqué de rappeler: "depuis un an, nous réfléchissons à la réforme du Baccalauréat et de l’Office du Bac". Pour M. Diaham, il est urgent de tenir cet atelier.
Le directeur de l’Office du Bac, était attendu de pied ferme à l'Officedu Bac sis à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar par les étudiants, qui, par ailleurs, réclament sa démission. Mais ils devront déchanter parce que M. Diaham, n’y pense pas. Et tient à préciser : « je suis nommé par un décret ».
Pour rappel, des étudiants se sont opposé à la conférence de presse que le directeur de l’Office du Bac, Babou Diaham, devait initialement, tenir à partir de 11h30 dans les locaux de cette institution, une rencontre, finalement délocalisée au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche
Thierno Malick Ndiaye
Selon Babou Diaham, c’est une situation inadmissible et injustifiable, personne ne doit en tirer bénéfice. Raison pour laquelle, il importe d’abord et à titre conservatoire, d’annuler l’épreuve dès la confirmation de la fuite et de le reprogrammer avec un autre sujet.
Sur la question à savoir l’origine des dérives, le directeur de l’Office du Bac, très attendu sur cette question, répond : « Nous avons été interpellés à ce sujet, par des sources crédibles, la nuit dernière, qu’il y a eu des fuites dans certains épreuves.
Après vérification à propos du bien-fondé de ces allégations, nous avons décidé d’annuler l’épreuve de français des séries L qui devait se dérouler ce matin. Par souci d’équité, l’épreuve de français est reprogrammée ».
"Les épreuves de français et d’histoire-géographie, sont annulées et reprogrammées pour le 10 juillet à 8h", a annoncé M. Diaham, qui a, ensuite demandé à ce qu’on situe les responsabilités par une enquête administrative et judiciaire.
Babou Diaham et sa direction reconnait qu’ils ont dans l’obligation d’organiser des examens exempts de suspicion, de délivrer des titres et diplômes incontestables. Il n'a pas manqué de rappeler: "depuis un an, nous réfléchissons à la réforme du Baccalauréat et de l’Office du Bac". Pour M. Diaham, il est urgent de tenir cet atelier.
Le directeur de l’Office du Bac, était attendu de pied ferme à l'Officedu Bac sis à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar par les étudiants, qui, par ailleurs, réclament sa démission. Mais ils devront déchanter parce que M. Diaham, n’y pense pas. Et tient à préciser : « je suis nommé par un décret ».
Pour rappel, des étudiants se sont opposé à la conférence de presse que le directeur de l’Office du Bac, Babou Diaham, devait initialement, tenir à partir de 11h30 dans les locaux de cette institution, une rencontre, finalement délocalisée au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche
Thierno Malick Ndiaye