Cette pratique mystique, consiste à détruire, à séparer des unions sacrées dans presque tous les domaines de la vie. C’est-à -dire du social à la politique en passant par l’aspect familial et surtout les liens amoureux. Le “dédeulé“ est fait par un marabout. Généralement, ce sont ceux qui habitent dans le sud du pays, vers Kolda, Ziguinchor, Sédhiou qui détiennent le plus les connaissances pour rendre concret une telle pratique. Ainsi, certaines personnes souffrent beaucoup de ce mal qui les empêche de vivre librement sans parler des nombreux soucis.
Cependant, force est de constater que certaines personnes ne croient pas à l’existence de cette pratique. Pour elles, la logique voudrait que tout croyant, musulmans ou encore chrétiens, puisse croire au destin et savoir que tout dépend de la volonté divine. Surtout que nul ne peut échapper à son destin. Trouvé à côté de la mairie de grand-Dakar, Mohamed Ndiaye, affirme : «Je ne crois pas au “dédeulé“». Non sans ajouter : «Pour moi, tout ce qui m’arrive dans la vie est mon destin. L’existence de cette pratique est fausse», dit-il.
Ce qui n’est pas le cas d’un certain Omar Sow qui a été victime de cette pratique qui est le ‘’dédeulé’’. «J’ai était victime de cet ignoble acte qui a complètement changé ma vie», clame-t-il. Poursuivant, il défend : «J’ai aimé une fille du non de Fatima. Mais, avec les problèmes de caste, ma maman m’a dit qu’il faut j’arrête de la fréquenter. Et, comme nous étions inséparables, elle a fait recours au pratique mystique qu’est le “dédeulé“. Du coup, je ne voulais plus voir la fille ou la croiser sur mon chemin et j’ai fini par épouser une autre fille sans pour autant l’aimer. A vrai dire, je souffre jusqu’à présent d’avoir perdu l’amour de ma vie», souligne-t-il.
Toujours, à propos des conséquences du “dédeulé“ Pape Omar, raconte : «J’étais un homme compétent dans mon domaine qu’est la gestion des entreprises et j’étais aussi l’ami de mon directeur. Mais, il y’avait une telle jalousie de la part des autres fonctionnaires. Un jour, on a voulu me nommer adjoint du directeur. Du coup, tout a changé. Le directeur qui se trouvait être mon ami, ne voulait plus me voir même pas en peinture».
Une occasion pour lui de souligner aussi, «j’étais perturbé dans mon travail je ne pouvais plus me concentrer. Conséquence, le poste a été donné à un autre. L’argument fourni pour justifier cette nomination est qu’il était le plus ancien dans l’entreprise ! Ce n’est qu’après, que j’ai su que l’usage du ‘’dédeulé’’ venait de ruiner ma carrière professionnelle», martèle-il.
Face à de tels cas, il faut signaler que notre société est remplie de personnes qui n’hésitent pas à faire recours à des pratiques peu orthodoxes.
Awa Gueye Diop & khadidiatoukandé (stagiaires) http://www.senenews.com/
Cependant, force est de constater que certaines personnes ne croient pas à l’existence de cette pratique. Pour elles, la logique voudrait que tout croyant, musulmans ou encore chrétiens, puisse croire au destin et savoir que tout dépend de la volonté divine. Surtout que nul ne peut échapper à son destin. Trouvé à côté de la mairie de grand-Dakar, Mohamed Ndiaye, affirme : «Je ne crois pas au “dédeulé“». Non sans ajouter : «Pour moi, tout ce qui m’arrive dans la vie est mon destin. L’existence de cette pratique est fausse», dit-il.
Ce qui n’est pas le cas d’un certain Omar Sow qui a été victime de cette pratique qui est le ‘’dédeulé’’. «J’ai était victime de cet ignoble acte qui a complètement changé ma vie», clame-t-il. Poursuivant, il défend : «J’ai aimé une fille du non de Fatima. Mais, avec les problèmes de caste, ma maman m’a dit qu’il faut j’arrête de la fréquenter. Et, comme nous étions inséparables, elle a fait recours au pratique mystique qu’est le “dédeulé“. Du coup, je ne voulais plus voir la fille ou la croiser sur mon chemin et j’ai fini par épouser une autre fille sans pour autant l’aimer. A vrai dire, je souffre jusqu’à présent d’avoir perdu l’amour de ma vie», souligne-t-il.
Toujours, à propos des conséquences du “dédeulé“ Pape Omar, raconte : «J’étais un homme compétent dans mon domaine qu’est la gestion des entreprises et j’étais aussi l’ami de mon directeur. Mais, il y’avait une telle jalousie de la part des autres fonctionnaires. Un jour, on a voulu me nommer adjoint du directeur. Du coup, tout a changé. Le directeur qui se trouvait être mon ami, ne voulait plus me voir même pas en peinture».
Une occasion pour lui de souligner aussi, «j’étais perturbé dans mon travail je ne pouvais plus me concentrer. Conséquence, le poste a été donné à un autre. L’argument fourni pour justifier cette nomination est qu’il était le plus ancien dans l’entreprise ! Ce n’est qu’après, que j’ai su que l’usage du ‘’dédeulé’’ venait de ruiner ma carrière professionnelle», martèle-il.
Face à de tels cas, il faut signaler que notre société est remplie de personnes qui n’hésitent pas à faire recours à des pratiques peu orthodoxes.
Awa Gueye Diop & khadidiatoukandé (stagiaires) http://www.senenews.com/