S’il y a un homme qui n’oubliera pas de sitôt sa journée d’hier, c’est bien ce motard qui a été renversé, hier, sur la corniche de Ouakam, à hauteur du monument de le Renaissance africaine, peu après 15h30. En effet, renseigne Le Populaire, après qu’un véhicule l’a heurté violemment, le jeune homme s’est retrouvé sous sa moto qui a aussitôt pris feu. Il a pu être tiré des flammes par les témoins de l’accident. Ainsi, le jeune homme, qui s’est retrouvé avec une fracture à la jambe et de sérieuses brûlures un peu partout sur le corps, a été évacué par les sapeurs-pompiers vers l’hôpital Aristide Le Dantec. Et c’est là que commence son véritable calvaire.
A en croire le journal, après son admission aux urgences dudit l’hôpital, peu après 16 heures, l’accidenté a été laissé à lui-même, avec ses souffrances, par les médecins. Car, de 16 heures à 22 heures 30 minutes, il n’avait pas reçu le moindre soin. Même pas une piqûre pour calmer sa douleur. En fait, après qu’il y a été admis, ses proches, qui avaient rappliqué sur les lieux au moment du transfert, ont payé tous les frais qu’on leur a demandés. Puis, un membre du personnel médical l’a consulté avant de lui prescrire une ordonnance qu’ils se sont empressés d’aller acheter. Mais ensuite rien. Pas le moindre médecin pour s’enquérir de son état. Personne. Il est resté là couché sur un brancard à souffrir le martyr.
Nos confrères rapportent que les cris et autres pétages de plomb de ses accompagnants n’ont servi à rien. Finalement, vers 22h45, le blessé lui-même a pété un câble et s’en est pris au personnel de l’hôpital. Avec ses accompagnants, ils se sont révoltés et ont demandé à ce qu’on leur rembourse tout ce qu’ils avaient payé afin qu’ils quittent l’hôpital pour aller se faire soigner à l’hôpital Militaire de Ouakam où ils étaient certains d’être mieux accueillis.
A en croire le journal, après son admission aux urgences dudit l’hôpital, peu après 16 heures, l’accidenté a été laissé à lui-même, avec ses souffrances, par les médecins. Car, de 16 heures à 22 heures 30 minutes, il n’avait pas reçu le moindre soin. Même pas une piqûre pour calmer sa douleur. En fait, après qu’il y a été admis, ses proches, qui avaient rappliqué sur les lieux au moment du transfert, ont payé tous les frais qu’on leur a demandés. Puis, un membre du personnel médical l’a consulté avant de lui prescrire une ordonnance qu’ils se sont empressés d’aller acheter. Mais ensuite rien. Pas le moindre médecin pour s’enquérir de son état. Personne. Il est resté là couché sur un brancard à souffrir le martyr.
Nos confrères rapportent que les cris et autres pétages de plomb de ses accompagnants n’ont servi à rien. Finalement, vers 22h45, le blessé lui-même a pété un câble et s’en est pris au personnel de l’hôpital. Avec ses accompagnants, ils se sont révoltés et ont demandé à ce qu’on leur rembourse tout ce qu’ils avaient payé afin qu’ils quittent l’hôpital pour aller se faire soigner à l’hôpital Militaire de Ouakam où ils étaient certains d’être mieux accueillis.