Le drame s’est produit jeudi sur la rue 204, une des deux principales artères menant de Mina à Jamarat, étape marquée par le rituel symbolique de la lapidation de Satan par les pèlerins.
La rencontre entre deux flux de pèlerins, l’un quittant le site de Jamarat où a lieu ce rituel, et l’autre arrivant en sens inverse le long de cette rue de 12 mètres de large, a provoqué la catastrophe.
Le Sénégal compte officiellement 5 morts dans ce drame. L’Iran a payé le plus lourd tribut dans cette tragédie avec 131 victimes.
L’Arabie Saoudite a mobilisé quelque 100 000 policiers pour ce pèlerinage qui a été déjà endeuillé le 11 septembre, avec 109 morts à la suite de la chute d’une grue sur le chantier de la Grande mosquée de La Mecque. Il y a eu plus de 400 blessés.
En 2006, plus de 360 pèlerins ont trouvé la mort dans une bousculade. Un mouvement de foule similaire avait fait 244 morts et des centaines de blessés, à Mouna, en 2004.
Le bilan le plus lourd remonte à 1990, quand 1 426 pèlerins sont morts dans un tunnel piéton bondé menant aux lieux sacrés de La Mecque.
APS
La rencontre entre deux flux de pèlerins, l’un quittant le site de Jamarat où a lieu ce rituel, et l’autre arrivant en sens inverse le long de cette rue de 12 mètres de large, a provoqué la catastrophe.
Le Sénégal compte officiellement 5 morts dans ce drame. L’Iran a payé le plus lourd tribut dans cette tragédie avec 131 victimes.
L’Arabie Saoudite a mobilisé quelque 100 000 policiers pour ce pèlerinage qui a été déjà endeuillé le 11 septembre, avec 109 morts à la suite de la chute d’une grue sur le chantier de la Grande mosquée de La Mecque. Il y a eu plus de 400 blessés.
En 2006, plus de 360 pèlerins ont trouvé la mort dans une bousculade. Un mouvement de foule similaire avait fait 244 morts et des centaines de blessés, à Mouna, en 2004.
Le bilan le plus lourd remonte à 1990, quand 1 426 pèlerins sont morts dans un tunnel piéton bondé menant aux lieux sacrés de La Mecque.
APS