Il y a une semaine, l’Ecole militaire d’administration et des métiers techniques de l’Intendance (Emamti) avait été inaugurée par Me Sidiki Kaba, ministre des Forces armées. Une école supérieure qui porte l’emblème et la signature du président de la République Macky Sall dans sa volonté de moderniser l’Armée nationale pour la doter d’instituts de défense de référence ainsi que de grandes écoles de formation.
Le Sénégal aura bientôt son Ecole de guerre à l’instar des grandes puissances militaires occidentales ou d’Afrique comme le Maroc. Le président de la République, Macky Sall, a déjà signé le décret portant création de cette Ecole de guerre ou institut de défense nationale. Presque 60 ans après l’Indépendance, l’heure d’avoir notre propre école de guerre a finalement sonné !
Cette école, comme tous les établissements ayant une vocation similaire à travers le monde, aura pour mission de préparer les meilleurs officiers supérieurs (colonels) après concours, à assumer des responsabilités d'état-major, de commandement et de direction au sein de leur corps d'appartenance. Comme quoi, les officiers de l’Armée, de la Gendarmerie et des Sapeurs-pompiers n’auront plus besoin d’aller faire leur diplôme d’école de guerre à l’étranger où les places sont très limitées.
Tout officier supérieur rêve d’être admis dans une école de guerre. Et n’importe laquelle ! L’essentiel, c’est de rejoindre une « Ecole de Guerre ».
La formation qui y est dispensée ouvre toutes les portes et fenêtres vers la haute hiérarchie militaire. Tout le monde s’accorde à reconnaitre qu’aucune porte ne peut être fermée ou ne doit être fermée pour tout officier des Armées de Terre, Air et Mer ayant fait une école de guerre dont le concours pour y entrer est à la fois trop difficile et très pointilleux sur l'excellence interdisciplinaire. Quant à ceux qui ratent ce concours, ou qui ne le passent pas, ils sont certains de ne jamais être en mesure de postuler aux étoiles d'officier général.
Car à la sortie d’une école de guerre où l’on forme les chefs militaires, l’officier supérieur ou le futur général est appelé à exercer des responsabilités jusqu’au plus haut niveau de la hiérarchie des armées (Terre, Air et Mer) ainsi que dans des structures internationales et organisations de défense. Mieux, les officiers et officiers généraux issus d’une école de guerre sont outillés dans tous les domaines civils et militaires puisqu’ils sont dotés d’aptitudes professionnelles et de savoir-faire pour analyser et résoudre avec efficacité et rapidité toute situation délicate.
Ces dernières années, du fait de la crise économique mondiale surtout, les places s’étant faites rares au niveau des écoles de guerre des différentes puissances militaires, il était donc devenu impératif que le Sénégal se dote de son propre « War college » comme disent les Anglo-Saxons.
Le Témoin
Le Sénégal aura bientôt son Ecole de guerre à l’instar des grandes puissances militaires occidentales ou d’Afrique comme le Maroc. Le président de la République, Macky Sall, a déjà signé le décret portant création de cette Ecole de guerre ou institut de défense nationale. Presque 60 ans après l’Indépendance, l’heure d’avoir notre propre école de guerre a finalement sonné !
Cette école, comme tous les établissements ayant une vocation similaire à travers le monde, aura pour mission de préparer les meilleurs officiers supérieurs (colonels) après concours, à assumer des responsabilités d'état-major, de commandement et de direction au sein de leur corps d'appartenance. Comme quoi, les officiers de l’Armée, de la Gendarmerie et des Sapeurs-pompiers n’auront plus besoin d’aller faire leur diplôme d’école de guerre à l’étranger où les places sont très limitées.
Tout officier supérieur rêve d’être admis dans une école de guerre. Et n’importe laquelle ! L’essentiel, c’est de rejoindre une « Ecole de Guerre ».
La formation qui y est dispensée ouvre toutes les portes et fenêtres vers la haute hiérarchie militaire. Tout le monde s’accorde à reconnaitre qu’aucune porte ne peut être fermée ou ne doit être fermée pour tout officier des Armées de Terre, Air et Mer ayant fait une école de guerre dont le concours pour y entrer est à la fois trop difficile et très pointilleux sur l'excellence interdisciplinaire. Quant à ceux qui ratent ce concours, ou qui ne le passent pas, ils sont certains de ne jamais être en mesure de postuler aux étoiles d'officier général.
Car à la sortie d’une école de guerre où l’on forme les chefs militaires, l’officier supérieur ou le futur général est appelé à exercer des responsabilités jusqu’au plus haut niveau de la hiérarchie des armées (Terre, Air et Mer) ainsi que dans des structures internationales et organisations de défense. Mieux, les officiers et officiers généraux issus d’une école de guerre sont outillés dans tous les domaines civils et militaires puisqu’ils sont dotés d’aptitudes professionnelles et de savoir-faire pour analyser et résoudre avec efficacité et rapidité toute situation délicate.
Ces dernières années, du fait de la crise économique mondiale surtout, les places s’étant faites rares au niveau des écoles de guerre des différentes puissances militaires, il était donc devenu impératif que le Sénégal se dote de son propre « War college » comme disent les Anglo-Saxons.
Le Témoin