« Aujourd'hui, le mal est déjà fait. L'école est arrêtée, il faut que les gens le retiennent dans la tête. Peut-être qu'on veut corriger le mal et le soigner, nous ne sommes pas les maîtres de la situation », a soutenu, pour s’en désoler, le désormais ex-président du Conseil d’administration du Groupe scolaire au cours d'une conférence de presse.
Pour autant, les parents qui ont cru jusqu’au bout en inscrivant leurs enfants, ne rentreront pas bredouilles. « Depuis le mois de mai, nous avons comptabilisé les inscriptions. Les parents seront remboursés naturellement. Je ne peux pas dire qu'on va tout de suite le faire, on va l'organiser. Parce qu'il faut mobiliser les ressources nécessaires. Il faut que les gens sachent que nous travaillons à mobiliser les fonds nécessaires pour rembourser les parents qui le demanderont. Cela ne souffre pas d'équivoque », a-t-il assuré. Cette fermeture, c’est aussi l’histoire d’une école qui a montré ses preuve depuis 1999 qu’elle a été implantée au Sénégal, remportant des prix des concours généraux, en plus des bons résultats scolaires qu’elle avait habitué aux Sénégalais. Mais, toute chose a une fin, diront certainement certains.
Pour autant, les parents qui ont cru jusqu’au bout en inscrivant leurs enfants, ne rentreront pas bredouilles. « Depuis le mois de mai, nous avons comptabilisé les inscriptions. Les parents seront remboursés naturellement. Je ne peux pas dire qu'on va tout de suite le faire, on va l'organiser. Parce qu'il faut mobiliser les ressources nécessaires. Il faut que les gens sachent que nous travaillons à mobiliser les fonds nécessaires pour rembourser les parents qui le demanderont. Cela ne souffre pas d'équivoque », a-t-il assuré. Cette fermeture, c’est aussi l’histoire d’une école qui a montré ses preuve depuis 1999 qu’elle a été implantée au Sénégal, remportant des prix des concours généraux, en plus des bons résultats scolaires qu’elle avait habitué aux Sénégalais. Mais, toute chose a une fin, diront certainement certains.