Alain Jouret, consul général de France à Dakar, a découvert la lettre jeudi sur un site sénégalais et il se dit « vraiment désolé » :
« Elle aurait dû me contacter pour m’expliquer ce qui s’était passé. Je lui ai aussitôt envoyé un courriel auquel elle n’a toujours pas répondu. On ne reste que cinq minutes au guichet pour récupérer son visa, le contact a peut-être été froid, peu cordial. La seule chose que je sais c’est qu’il n’y a pas eu d’insultes. »
Le consulat traite 32 000 demandes de visas par an, chaque préposée reçoit 35 à 40 personnes par jour : « A mon arrivée, j’ai mis en place un système qui fait que personne ne fait la queue plus d’une heure. J’ai également renouvelé l’ensemble du personnel, désormais en grande partie issu de la diversité culturelle : franco-sénégalaise, franco-ivorienne, Dom-Tom, etc... »
Selon Alain Jouret, souligne Rue 89 les plaintes pour « manque d’égards » de personnes ayant reçu leur visa est rarissime : « Nous avons mené une enquête de satisfaction, et 82% des personnes interrogées se disent satisfaites ou très satisfaites. » B.G.
« Elle aurait dû me contacter pour m’expliquer ce qui s’était passé. Je lui ai aussitôt envoyé un courriel auquel elle n’a toujours pas répondu. On ne reste que cinq minutes au guichet pour récupérer son visa, le contact a peut-être été froid, peu cordial. La seule chose que je sais c’est qu’il n’y a pas eu d’insultes. »
Le consulat traite 32 000 demandes de visas par an, chaque préposée reçoit 35 à 40 personnes par jour : « A mon arrivée, j’ai mis en place un système qui fait que personne ne fait la queue plus d’une heure. J’ai également renouvelé l’ensemble du personnel, désormais en grande partie issu de la diversité culturelle : franco-sénégalaise, franco-ivorienne, Dom-Tom, etc... »
Selon Alain Jouret, souligne Rue 89 les plaintes pour « manque d’égards » de personnes ayant reçu leur visa est rarissime : « Nous avons mené une enquête de satisfaction, et 82% des personnes interrogées se disent satisfaites ou très satisfaites. » B.G.
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