Pour cette édition, informe Cheikh Abdoul Ahad Mbacké Gaïndé Fatma, organisateur principal du magal, «il y aura des innovations majeures. Cette année, il y aura 7 conférences publiques qui vont débuter à une semaine du magal. Et la nuit consacrée aux filles de Serigne Touba sera dédiée à Sokhna Faty Dia, la fille aînée de Serigne Touba. La conférence prévue aux Hlm sera autour du thème “Sokhna Maï et leadership’’.» A travers cette série de conférences, les organisateurs veulent montrer le rôle joué par les femmes dans l’expansion de l’islam. Sans oublier le volet social comme l’octroi de ndogous aux nécessiteux, aux hôpitaux et aux prisons.
Par ailleurs, le marabout a lancé un appel aux forces de sécurité pour sécuriser la ville de Touba. «Touba ne peut pas continuer à vivre dans cette situation d’insécurité totale. Tous ceux qui sont à Touba le déplorent grandement. Il faut une volonté politique pour régler définitivement le problème. Toutes les populations ont peur. Nous lançons un appel aux autorités dans ce sens.
Cette situation interpelle les plus hautes autorités», insiste Cheikh Abdoul Ahad Mbacké. De son côté, le gouverneur de la région de Diourbel a reconnu certaines difficultés. Mouhamadou Moustapha Ndao confie «qu’il y a des difficultés que nous connaissons depuis un certain temps. Il s’agit surtout des produits d’hygiène. On va demander à la mairie de nous suppléer, le temps qu’on puisse décanter cette question au niveau de l’Etat». En attendant, le médecin-chef de la région médicale annonce le pré-positionnement de deux ambulances, la mise en place de 5 postes avancés et aussi la désinfection et le saupoudrage des sites où aura lieu l’événement. Même si l’opération ne sera pas facile à réaliser. «On n’a aucun produit depuis le début de l’année», prévient-il.
Le Quotidien
Par ailleurs, le marabout a lancé un appel aux forces de sécurité pour sécuriser la ville de Touba. «Touba ne peut pas continuer à vivre dans cette situation d’insécurité totale. Tous ceux qui sont à Touba le déplorent grandement. Il faut une volonté politique pour régler définitivement le problème. Toutes les populations ont peur. Nous lançons un appel aux autorités dans ce sens.
Cette situation interpelle les plus hautes autorités», insiste Cheikh Abdoul Ahad Mbacké. De son côté, le gouverneur de la région de Diourbel a reconnu certaines difficultés. Mouhamadou Moustapha Ndao confie «qu’il y a des difficultés que nous connaissons depuis un certain temps. Il s’agit surtout des produits d’hygiène. On va demander à la mairie de nous suppléer, le temps qu’on puisse décanter cette question au niveau de l’Etat». En attendant, le médecin-chef de la région médicale annonce le pré-positionnement de deux ambulances, la mise en place de 5 postes avancés et aussi la désinfection et le saupoudrage des sites où aura lieu l’événement. Même si l’opération ne sera pas facile à réaliser. «On n’a aucun produit depuis le début de l’année», prévient-il.
Le Quotidien