Inondations : un défi négligé depuis une décennie
L’ancien ministre a pointé du doigt le manque de suivi et d’évaluation des programmes de gestion des inondations, soulignant leur importance pour le bien-être des populations. « Pendant plus d’une décennie, ces inondations mobilisent des ressources considérables mais continuent d’impacter lourdement la vie des Sénégalais », a-t-il déclaré. Pour lui, la gestion inefficace de ce problème persistant traduit un échec flagrant des politiques publiques en matière d'infrastructures et de planification urbaine.
Spoliation du patrimoine foncier de l’État : une affaire scandaleuse
Sall a également dénoncé la cession abusive de biens immobiliers appartenant à l’État, citant plusieurs exemples significatifs : « L’hôpital Le Dantec, le commandement de la gendarmerie, le camp Leclerc... Tous ces bâtiments et villas, autrefois propriétés de l’État, ont été bradés à des privés. » Il a précisé que, rien que dans les dernières décennies, plus de 150 bâtiments de l’État, situés dans des quartiers stratégiques comme le Plateau ou la Fann Résidence, ont été cédés dans des conditions opaques. « Chaque immeuble valant plusieurs milliards a été vendu pour une bouchée de pain, au détriment de l’intérêt national », a-t-il déploré.
Une critique acerbe des coalitions politiques
Dans un ton ferme, Thierno Alassane Sall a critiqué la résilience des anciennes coalitions, estimant que celles-ci ont une part de responsabilité dans les échecs politiques, économiques et sociaux du Sénégal. « Il est incompréhensible qu’une coalition chassée du pouvoir puisse se régénérer quelques mois plus tard et prétendre revenir avec vigueur », a-t-il fustigé, accusant certains leaders politiques d’avoir participé activement à la dégradation du pays.
« Comment peut-on se fier à des coalitions qui ont déjà prouvé leur faible attachement aux principes républicains ? » a-t-il interrogé, dénonçant une gouvernance qu’il juge inadéquate et en décalage avec les aspirations citoyennes.
Par cette intervention, Thierno Alassane Sall a marqué une rupture nette avec les anciennes pratiques politiques, positionnant Sénégal Kessé comme une alternative ferme et résolue à ce qu’il considère comme un système de prédation et de mauvaise gestion publique.
L’ancien ministre a pointé du doigt le manque de suivi et d’évaluation des programmes de gestion des inondations, soulignant leur importance pour le bien-être des populations. « Pendant plus d’une décennie, ces inondations mobilisent des ressources considérables mais continuent d’impacter lourdement la vie des Sénégalais », a-t-il déclaré. Pour lui, la gestion inefficace de ce problème persistant traduit un échec flagrant des politiques publiques en matière d'infrastructures et de planification urbaine.
Spoliation du patrimoine foncier de l’État : une affaire scandaleuse
Sall a également dénoncé la cession abusive de biens immobiliers appartenant à l’État, citant plusieurs exemples significatifs : « L’hôpital Le Dantec, le commandement de la gendarmerie, le camp Leclerc... Tous ces bâtiments et villas, autrefois propriétés de l’État, ont été bradés à des privés. » Il a précisé que, rien que dans les dernières décennies, plus de 150 bâtiments de l’État, situés dans des quartiers stratégiques comme le Plateau ou la Fann Résidence, ont été cédés dans des conditions opaques. « Chaque immeuble valant plusieurs milliards a été vendu pour une bouchée de pain, au détriment de l’intérêt national », a-t-il déploré.
Une critique acerbe des coalitions politiques
Dans un ton ferme, Thierno Alassane Sall a critiqué la résilience des anciennes coalitions, estimant que celles-ci ont une part de responsabilité dans les échecs politiques, économiques et sociaux du Sénégal. « Il est incompréhensible qu’une coalition chassée du pouvoir puisse se régénérer quelques mois plus tard et prétendre revenir avec vigueur », a-t-il fustigé, accusant certains leaders politiques d’avoir participé activement à la dégradation du pays.
« Comment peut-on se fier à des coalitions qui ont déjà prouvé leur faible attachement aux principes républicains ? » a-t-il interrogé, dénonçant une gouvernance qu’il juge inadéquate et en décalage avec les aspirations citoyennes.
Par cette intervention, Thierno Alassane Sall a marqué une rupture nette avec les anciennes pratiques politiques, positionnant Sénégal Kessé comme une alternative ferme et résolue à ce qu’il considère comme un système de prédation et de mauvaise gestion publique.
fr extrait TAS.mp3 (1.71 Mo)