Du côté de la présidence, on affichait une pleine confiance, hier, mardi 2 novembre. Joe Biden ou Donald Trump... un proche de Félix Tshisekedi dit suivre cette élection comme tout le monde, mais avoir eu les assurances que la ligne de Washington à l’égard de la RDC ne changerait pas.
Reprise de la coopération militaire
Juste avant les élections, la coopération militaire a repris entre les deux pays. Depuis deux ans, l’ambassadeur américain Mike Hammer ne cesse de déclarer que Félix Tshisekedi, c’est le changement attendu par les congolais, même si la même administration avait longtemps défendu la vérité des urnes qui donnait son rival Martin Fayulu vainqueur.
Mais voilà, s’il y a une ligne qu’ont partagé les derniers présidents américains, républicain comme démocrate, c’est d’avoir une position dure à l’égard de l’ancien chef de l’Etat, Joseph Kabila. Des parlementaires des deux partis ont réclamé des sanctions à l’égard de ses proches et associés. L’ancien chef de l’Etat avait pourtant essayé d’approcher l’administration de Donald Trump. Des lobbyistes très proches du président républicain avaient même été engagés pour tenter d’adoucir la position de Washington. Alors même que Joseph Kabila n’avait pas encore choisi de dauphin.
Bras de fer
Mais cette élection en plein bras de fer entre Félix Tshisekedi et Joseph Kabila, alors même que le nouveau président consulte pour, l’explique-t-il lui-même, se dégager d’un accord qui l’empêche de pouvoir faire passer ses réformes, craint un peu de fébrilité de part et d’autre. Tant l’administration Trump a soutenu le président Tshisekedi.
Reprise de la coopération militaire
Juste avant les élections, la coopération militaire a repris entre les deux pays. Depuis deux ans, l’ambassadeur américain Mike Hammer ne cesse de déclarer que Félix Tshisekedi, c’est le changement attendu par les congolais, même si la même administration avait longtemps défendu la vérité des urnes qui donnait son rival Martin Fayulu vainqueur.
Mais voilà, s’il y a une ligne qu’ont partagé les derniers présidents américains, républicain comme démocrate, c’est d’avoir une position dure à l’égard de l’ancien chef de l’Etat, Joseph Kabila. Des parlementaires des deux partis ont réclamé des sanctions à l’égard de ses proches et associés. L’ancien chef de l’Etat avait pourtant essayé d’approcher l’administration de Donald Trump. Des lobbyistes très proches du président républicain avaient même été engagés pour tenter d’adoucir la position de Washington. Alors même que Joseph Kabila n’avait pas encore choisi de dauphin.
Bras de fer
Mais cette élection en plein bras de fer entre Félix Tshisekedi et Joseph Kabila, alors même que le nouveau président consulte pour, l’explique-t-il lui-même, se dégager d’un accord qui l’empêche de pouvoir faire passer ses réformes, craint un peu de fébrilité de part et d’autre. Tant l’administration Trump a soutenu le président Tshisekedi.