Le mariage de C. G. a été célébré en grande pompe à Ganguel, un village de la commune d’Orkadjiéré (Matam). C’était le jour de la Tabaski, en juillet dernier. Quatre mois plus tard, la nouvelle mariée, 20 ans, a donné naissance à son premier enfant.
Dans la nuit du samedi 22 au dimanche 23 octobre, C. G. réveille sa mère et lui demande de la conduire à la structure de santé du village. Elle lui fait savoir qu’elle est sur le point d’accoucher. Mettant de côté sa surprise, la vieille dame s’exécute.
D’après "L’Observateur", qui relate cette affaire dans son édition de ce mercredi, l’accouchement se passe bien. C. G. met au monde une fille. Le lendemain, vers 9 heures, elle rentre chez elle avec son nouveau-né. Interpellée par sa maman sur l’identité du père de son bébé, C. G. s’emmure dans le silence.
Le journal rapporte qu’elle attendra que sa mère tombe dans les bras de Morphée, pour tuer l’enfant et jeter son corps dans un ravin situé à 300 mètres du village. La dépouille du nouveau-né sera découverte par des enfants qui jouaient aux alentours.
Ces derniers alertent les habitants de la localité. À son tour, le chef du village informe les gendarmes de Semme. Les enquêteurs arrêtent C. G., qui reconnaît les faits sans détour.
La mise en cause confie aux gendarmes qu’elle ne pouvait pas garder l’enfant qui est issu d’une relation adultérine avec un maçon, qui était de passage dans le village. Elle a été déférée au parquet de Matam hier, lundi, pour infanticide.
Dans la nuit du samedi 22 au dimanche 23 octobre, C. G. réveille sa mère et lui demande de la conduire à la structure de santé du village. Elle lui fait savoir qu’elle est sur le point d’accoucher. Mettant de côté sa surprise, la vieille dame s’exécute.
D’après "L’Observateur", qui relate cette affaire dans son édition de ce mercredi, l’accouchement se passe bien. C. G. met au monde une fille. Le lendemain, vers 9 heures, elle rentre chez elle avec son nouveau-né. Interpellée par sa maman sur l’identité du père de son bébé, C. G. s’emmure dans le silence.
Le journal rapporte qu’elle attendra que sa mère tombe dans les bras de Morphée, pour tuer l’enfant et jeter son corps dans un ravin situé à 300 mètres du village. La dépouille du nouveau-né sera découverte par des enfants qui jouaient aux alentours.
Ces derniers alertent les habitants de la localité. À son tour, le chef du village informe les gendarmes de Semme. Les enquêteurs arrêtent C. G., qui reconnaît les faits sans détour.
La mise en cause confie aux gendarmes qu’elle ne pouvait pas garder l’enfant qui est issu d’une relation adultérine avec un maçon, qui était de passage dans le village. Elle a été déférée au parquet de Matam hier, lundi, pour infanticide.