On a pas besoin de sortir de chez soi pour s’apercevoir que les valeurs morales sont en déperdition dans nos sociétés africaines de façons générales. Ce constat a aussi été celui de l’ensemble des participants au thé-débat. Tout d’abord, il faudrait que tout un chacun assume ses responsabilités, partant du parent au sein de la famille jusqu’à dirigeants ayant en charge le maintien de la cohésion sociale. C’est ainsi que ces différents aspects, entre autres, ont été relevés comme pouvant augurer à une immoralité :
- Le sous-développement,
- Un manque considérable d’éthique et de déontologie,
- Un manque d’amour pour la patrie,
- Une mauvaise compréhension du mot " référence "
- Le système « LMD » (Lutte, Musique, Danse), privilégié aujourd’hui par nos médias, qui ne peut en aucun cas constituer une base solide d’un développement national durable.
- La corruption grandissante,
- Le non-respect des engagements et de la parole donnée,
- L’assimilation et mimétisme culturel,
- Le non-respect des institutions et des valeurs civiques,
- Etc.
La liste n’est pas exhaustive. Pour remédier à ses problèmes qui ne sont que néfastes à l’épanouissement de notre nation, il y a lieu de se demander parfois :
« Si chacun en faisait autant ? », avant de poser un acte même le plus anodin.
La découverte de ses problèmes nous met devant le fait accompli, mais aussi devant des problèmes que nous devons éradiquer au plus vite si tenons vraiment au développement de notre mère Afrique. Comme l’a s bien dit Frantz Fanon :
« Chaque génération doit dans une relative opacité, découvrir sa mission, la remplir ou la trahir »,
Nous avons ainsi découvert notre mission en tant que jeune Africains, la question qui se pose est alors de savoir : que sommes prêt à faire pour y venir à bout ?
Certainement une révolution intellectuelle s’impose et la conjugaison de toutes nos forces vers le même idéal. On peut alors citer comme perspectives de solutions :
- une redirection de nos objectifs vers l’essentiel et l’intérêt de toute la nation,
- une référence au bon sens avant toute action,
- l’enracinement dans nos valeurs traditionnelles et culturelles,
- la dignité, l’éthique et la déontologie dans toute entreprise,
- l’érection d’une société nouvelles et la mise en place d’un modèle de développement typiquement africain,
- la revisite des programmes scolaires afin de les rendre plus adaptés aux exigences africaines,
- l’éducation pour tous,
- la revalorisation de nos langues nationales,
- la supervision de l’activité des médias.Non aux pollueurs sans programmes !
- l’amour pour la patrie, le travail et les valeurs nationales,
- un retour aux sources pour une meilleure conception des aspects du monde,
Voilà suscités, entre autres, ce à quoi nous devons tendre, armons nous de vaillance, de courage et d’abnégation, car cette mission n’est pas simple.
Cela dit, le cri de guerre a été déjà annoncé par SANKARA :
« La patrie ou la mort nous vaincrons.. »
Pour rappel , « The African Challenge » est un mouvement panafricain, apolitique doté d’une autonomie administrative ayant pour vocation de concrétiser toutes les théories formulées autour du nouveau type d’Africain, de Kwame Nkrumah en passant par Cheikh Anta Diop jusqu’aux penseurs de nos jours. Il est le point de convergence de tous les étudiants africains, des intellectuels engagés, des analphabètes, bref des citoyens de l’Etat africain. Ce consortium de jeunes œuvre beaucoup par la conscientisation des jeunes et la vulgarisation des sciences dans le milieu scolaire.
Vidéo de l'évenement : http://theafricanchallenge.besaba.com/
- Le sous-développement,
- Un manque considérable d’éthique et de déontologie,
- Un manque d’amour pour la patrie,
- Une mauvaise compréhension du mot " référence "
- Le système « LMD » (Lutte, Musique, Danse), privilégié aujourd’hui par nos médias, qui ne peut en aucun cas constituer une base solide d’un développement national durable.
- La corruption grandissante,
- Le non-respect des engagements et de la parole donnée,
- L’assimilation et mimétisme culturel,
- Le non-respect des institutions et des valeurs civiques,
- Etc.
La liste n’est pas exhaustive. Pour remédier à ses problèmes qui ne sont que néfastes à l’épanouissement de notre nation, il y a lieu de se demander parfois :
« Si chacun en faisait autant ? », avant de poser un acte même le plus anodin.
La découverte de ses problèmes nous met devant le fait accompli, mais aussi devant des problèmes que nous devons éradiquer au plus vite si tenons vraiment au développement de notre mère Afrique. Comme l’a s bien dit Frantz Fanon :
« Chaque génération doit dans une relative opacité, découvrir sa mission, la remplir ou la trahir »,
Nous avons ainsi découvert notre mission en tant que jeune Africains, la question qui se pose est alors de savoir : que sommes prêt à faire pour y venir à bout ?
Certainement une révolution intellectuelle s’impose et la conjugaison de toutes nos forces vers le même idéal. On peut alors citer comme perspectives de solutions :
- une redirection de nos objectifs vers l’essentiel et l’intérêt de toute la nation,
- une référence au bon sens avant toute action,
- l’enracinement dans nos valeurs traditionnelles et culturelles,
- la dignité, l’éthique et la déontologie dans toute entreprise,
- l’érection d’une société nouvelles et la mise en place d’un modèle de développement typiquement africain,
- la revisite des programmes scolaires afin de les rendre plus adaptés aux exigences africaines,
- l’éducation pour tous,
- la revalorisation de nos langues nationales,
- la supervision de l’activité des médias.Non aux pollueurs sans programmes !
- l’amour pour la patrie, le travail et les valeurs nationales,
- un retour aux sources pour une meilleure conception des aspects du monde,
Voilà suscités, entre autres, ce à quoi nous devons tendre, armons nous de vaillance, de courage et d’abnégation, car cette mission n’est pas simple.
Cela dit, le cri de guerre a été déjà annoncé par SANKARA :
« La patrie ou la mort nous vaincrons.. »
Pour rappel , « The African Challenge » est un mouvement panafricain, apolitique doté d’une autonomie administrative ayant pour vocation de concrétiser toutes les théories formulées autour du nouveau type d’Africain, de Kwame Nkrumah en passant par Cheikh Anta Diop jusqu’aux penseurs de nos jours. Il est le point de convergence de tous les étudiants africains, des intellectuels engagés, des analphabètes, bref des citoyens de l’Etat africain. Ce consortium de jeunes œuvre beaucoup par la conscientisation des jeunes et la vulgarisation des sciences dans le milieu scolaire.
Vidéo de l'évenement : http://theafricanchallenge.besaba.com/