Les faits ont démontré que Françoise Hélène Gaye et Baba Aïdara ont raconté des sornettes aux Sénégalais en tentant jusque-là de démentir les informations de première main de L’Obs et de Libération. À preuve, Assane Diouf est effectivement arrivé à Dakar hier en même temps que d’autres Sénégalais rapatriés par les états-Unis.
Sauf que l’insulteur public a été cueilli discrètement parla BIP sur le tarmac de l’aéroport avant d’être exfiltré. Assane Diouf n’a manifesté aucune résistance et, au contraire, il semblait être pris de court. Les reporters présents sur place n’y ont vu que du feu. Ses proches aussi.
Par contre ses « souteneurs » qui annonçaient qu’ils allaient l’accueillir à l’aéroport n’ont pas donné signe de vie. Selon les informations de Libération, Assane Diouf a été « déposé » à la Rue Carde, siège de la Division des investigations criminelles (DIC) où on lui a notifié son placement en position de garde à vue.
Les mêmes sources renseignent qu’il est visé pour plusieurs délits dont l’outrage à Chef de l’Etat, aux institutions, appel à l’insurrection ...mais aussi apologie du terrorisme, entre autres.
En effet, et comme nous l’écrivions, la DIC avait déjà saisi Washington par message flash du Bureau Interpol de Dakar pour demander que Assane Diouf soit mis à la disposition des autorités sénégalaises afin d’être entendu dans le cadre de son soutien violent exprimé à l’endroit de l’imam Alioune Badara Ndao écroué pour terrorisme présumé. Par ailleurs, l’enquête ouverte par la DIC risque de révéler des secrets notamment sur certaines personnes basées à Dakar et qui se servaient de ce fou furieux pour salir la réputation d’honnêtes citoyens.
A noter que les gendarmes pré- posés à la sécurité hier ont fait preuve d’un comportement inouï en menaçant d’arrêter les journalistes venus couvrir l’événement. Il aura fallu que Me ElHadji Diouf, qui s’est constitué pour Assane Diouf, freine les forces de sécurité pour que nos confrères soient libérés.
Cheikh Mbacké Guissé (Libération)
Sauf que l’insulteur public a été cueilli discrètement parla BIP sur le tarmac de l’aéroport avant d’être exfiltré. Assane Diouf n’a manifesté aucune résistance et, au contraire, il semblait être pris de court. Les reporters présents sur place n’y ont vu que du feu. Ses proches aussi.
Par contre ses « souteneurs » qui annonçaient qu’ils allaient l’accueillir à l’aéroport n’ont pas donné signe de vie. Selon les informations de Libération, Assane Diouf a été « déposé » à la Rue Carde, siège de la Division des investigations criminelles (DIC) où on lui a notifié son placement en position de garde à vue.
Les mêmes sources renseignent qu’il est visé pour plusieurs délits dont l’outrage à Chef de l’Etat, aux institutions, appel à l’insurrection ...mais aussi apologie du terrorisme, entre autres.
En effet, et comme nous l’écrivions, la DIC avait déjà saisi Washington par message flash du Bureau Interpol de Dakar pour demander que Assane Diouf soit mis à la disposition des autorités sénégalaises afin d’être entendu dans le cadre de son soutien violent exprimé à l’endroit de l’imam Alioune Badara Ndao écroué pour terrorisme présumé. Par ailleurs, l’enquête ouverte par la DIC risque de révéler des secrets notamment sur certaines personnes basées à Dakar et qui se servaient de ce fou furieux pour salir la réputation d’honnêtes citoyens.
A noter que les gendarmes pré- posés à la sécurité hier ont fait preuve d’un comportement inouï en menaçant d’arrêter les journalistes venus couvrir l’événement. Il aura fallu que Me ElHadji Diouf, qui s’est constitué pour Assane Diouf, freine les forces de sécurité pour que nos confrères soient libérés.
Cheikh Mbacké Guissé (Libération)