Les fameuses sanctions pécuniaires que le Comité national de gestion de la lutte (CNG) impose aux lutteurs avec frappe font encore jaser. Des victimes de la loi fustigent toujours ce système de répression mis en place pour réguler le jeu.
D’après les sources du quotidien L'Observateur qui donne la nouvelle dans sa livraison de ce mercredi, ce combat porté naguère par Gris Bordeaux et Cie pour se payer la tête d'Alioune Sarr, reprend, aujourd'hui, de plus belle.
Même s'il faut reconnaître que le nouveau CNG a fait des efforts pour assouplir les sanctions financières, il n'en demeure pas moins que cette énième grogne contre les coupes sur les reliquats des lutteurs mérite réflexion.
D’après les sources du quotidien L'Observateur qui donne la nouvelle dans sa livraison de ce mercredi, ce combat porté naguère par Gris Bordeaux et Cie pour se payer la tête d'Alioune Sarr, reprend, aujourd'hui, de plus belle.
Même s'il faut reconnaître que le nouveau CNG a fait des efforts pour assouplir les sanctions financières, il n'en demeure pas moins que cette énième grogne contre les coupes sur les reliquats des lutteurs mérite réflexion.