Le maire de la Médina, Bamba Fall, nouvellement élu, vient de rejoindre le Président Macky Sall à la surprise générale. L'attitude de cet homme, qu’on dit fin politique, a choqué plus d’un pour ne pas dire tout le Sénégal et particulièrement les Médinois. Il a battu un record en transhumant juste après avoir été réélu deux semaines à l’issue des élections locales et l’Histoire politique retiendra.
Il faut cependant rappeler son attitude neutre lors des élections présidentielles de 2019 malgré le soutien de TAXAWU SENEGAL de Khalifa Sall au candidat Idrissa SECK et ses nombreuses déclarations équivoques n’inspiraient pas confiance. Personne ne pouvait statuer s’il faisait partie de l’opposition ou du pouvoir.
YEWWI ASKAN WI a eu raison de n’avoir pas voulu sa candidature au niveau de la Médina et nous avions alerté les leaders sur son cas. Cette méfiance était due aux nombreuses interpellations des Médinois sur son manque de constance politique et son jeu de yoyo pour ne garder que son fauteuil de maire.
L’histoire politique récente du Sénégal a pourtant montré que la transhumance n’a jamais payé pour l’avenir d’un homme politique. Le cas de feu Djibo KA lors des élections présidentielles de 2000 et celui de Idrissa SECK lors des dernières élections locales le démontrent à suffisance.
Ne serait-il pas entre le marteau du pouvoir à cause d’une gestion nébuleuse de sa municipalité et l’enclume de l’opposition avec le nouveau Maire de Dakar, Barthélemy DIAS, en phase de devenir le leader incontestable de TAXAWU SENEGAL ?
Le budget de la mairie de la Médina avait été, semble-t-il, délibérément bloqué ces dernières années à moins d’un milliard pour ne pas avoir à faire une déclaration de patrimoine au niveau de l’OFNAC. Le pouvoir, selon des rumeurs persistantes, aurait aussi commandité des audits qui accablent la gestion financière du maire. Avait-il le choix pour éviter la prison ?
Une telle trahison ne sera pas acceptée par la population médinoise et surtout par les jeunes et la preuve lui sera donnée lors des prochaines élections législatives. Rapporte Vipeoples .
Demba DIOUM
Coordonnateur PASTEF MEDINA Membre de YEWWI ASKAN WI MEDINA
Il faut cependant rappeler son attitude neutre lors des élections présidentielles de 2019 malgré le soutien de TAXAWU SENEGAL de Khalifa Sall au candidat Idrissa SECK et ses nombreuses déclarations équivoques n’inspiraient pas confiance. Personne ne pouvait statuer s’il faisait partie de l’opposition ou du pouvoir.
YEWWI ASKAN WI a eu raison de n’avoir pas voulu sa candidature au niveau de la Médina et nous avions alerté les leaders sur son cas. Cette méfiance était due aux nombreuses interpellations des Médinois sur son manque de constance politique et son jeu de yoyo pour ne garder que son fauteuil de maire.
L’histoire politique récente du Sénégal a pourtant montré que la transhumance n’a jamais payé pour l’avenir d’un homme politique. Le cas de feu Djibo KA lors des élections présidentielles de 2000 et celui de Idrissa SECK lors des dernières élections locales le démontrent à suffisance.
Ne serait-il pas entre le marteau du pouvoir à cause d’une gestion nébuleuse de sa municipalité et l’enclume de l’opposition avec le nouveau Maire de Dakar, Barthélemy DIAS, en phase de devenir le leader incontestable de TAXAWU SENEGAL ?
Le budget de la mairie de la Médina avait été, semble-t-il, délibérément bloqué ces dernières années à moins d’un milliard pour ne pas avoir à faire une déclaration de patrimoine au niveau de l’OFNAC. Le pouvoir, selon des rumeurs persistantes, aurait aussi commandité des audits qui accablent la gestion financière du maire. Avait-il le choix pour éviter la prison ?
Une telle trahison ne sera pas acceptée par la population médinoise et surtout par les jeunes et la preuve lui sera donnée lors des prochaines élections législatives. Rapporte Vipeoples .
Demba DIOUM
Coordonnateur PASTEF MEDINA Membre de YEWWI ASKAN WI MEDINA