Khoudia Mbaye, le ministre de la promotion des investissements, des partenariats et du développement des teleservices de l’Etat espère «rattraper les retards de sommeil et de lecture », lors des vacances gouvernementales.
« Je suis pas encore en vacance. Je le serai certainement après le 22. Cependant, ce sera juste pour une bonne semaine. Je compte tout mettre en œuvre pour rattraper mes retards de sommeil et de lecture. Il faut dire que la campagne m’a vraiment épuisée. Je manque terriblement de sommeil et j’ai beaucoup de dossier à rattraper. Je profite de l’accalmie pour les lires à tête reposée. J’ai également des cousines et des nièces qui seront chez moi en cette période.
Elles vont me tenir compagnie et m’aider à m’éloigner un peu du carcan habituel. Il y’a mon fils aussi, mais il faut avouer qu’il à sa vie et qu’on ne fait que se croiser. J’essayerai aussi de passer du temps avec lui. J’aurais aimé faire de petites sorties en famille, toutefois, les finances ne suivent pas car au Sénégal on est toujours embarqué dans un tourbillon infernal. A peine sommes-nous sortis de la campagne, il y’a eu les départs pour la Mecque. Ensuite, ce sera la tabaski, puis les retours de la Mecque et la rentrée des classes, ainsi de suite. On ne s’arrête jamais de casquer. Finalement, on ne s’en sort pas… »
Source L’OBS
« Je suis pas encore en vacance. Je le serai certainement après le 22. Cependant, ce sera juste pour une bonne semaine. Je compte tout mettre en œuvre pour rattraper mes retards de sommeil et de lecture. Il faut dire que la campagne m’a vraiment épuisée. Je manque terriblement de sommeil et j’ai beaucoup de dossier à rattraper. Je profite de l’accalmie pour les lires à tête reposée. J’ai également des cousines et des nièces qui seront chez moi en cette période.
Elles vont me tenir compagnie et m’aider à m’éloigner un peu du carcan habituel. Il y’a mon fils aussi, mais il faut avouer qu’il à sa vie et qu’on ne fait que se croiser. J’essayerai aussi de passer du temps avec lui. J’aurais aimé faire de petites sorties en famille, toutefois, les finances ne suivent pas car au Sénégal on est toujours embarqué dans un tourbillon infernal. A peine sommes-nous sortis de la campagne, il y’a eu les départs pour la Mecque. Ensuite, ce sera la tabaski, puis les retours de la Mecque et la rentrée des classes, ainsi de suite. On ne s’arrête jamais de casquer. Finalement, on ne s’en sort pas… »
Source L’OBS