Sa mère, du nom de Marème Sy est "Badianou Gokh". A Zoominfo, elle raconte l’horreur: "C'était aux environs de 21h quand j'ai aperçu deux individus en compagnie de mon fils. Surprise par l'état de ce dernier, j’étais complètement abattue. J'ai aperçu une blessure très profonde au niveau de son bras, il était terriblement mal en point.
Accompagnée de mon mari, je l'ai conduit à l'hôpital de Keur Massar pour les premiers soins et c'était difficile, car le médecin a refusé mon accès sur les lieux, disant que la situation est très compliquée. Et puis, soudainement, il ordonna de l'acheminer à l'hôpital de Fann, car l'enfant gisait dans tout son sang qui continuait à couler. Ce qui l’exposait à une forte hémorragie".
Finalement, à Fann, le médecin n’a pas tardé à annoncer la triste et mauvaise nouvelle. Comme quoi, il a succombé à sa blessure. D'après les informations recueillies sur place, le présumé meurtrier se serait enfui et serait activement recherché par les pandores de la gendarmerie de Keur Massar. Une enquête a été ouverte pour déterminer la cause de la mort de Papa Sy.
Sa mère Maréme Sy s’en remet à la volonté divine. Néanmoins, elle reste inconsolable, surprise par la blessure fatale de son fils. «Il avait beaucoup de projets pour moi vu qu’il a perdu son père il y a de cela 2 ans et étant donné que j’appartiens à une famille très démunie.
Tous mes espoirs étaient placés en ce garçon dans ce contexte de conjoncture difficile. Soudeur de profession, il se battait sans relâche pour la prise en charge de la maison familiale», témoigne positivement Marème Sy qui, dans la foulée, a particulièrement adressé ses remerciements au maire de la commune de Keur Massar, en l’occurrence, Moustapha Mbengue.
«Le maire est venu à mon chevet avec un fort soutien en compatissant à la douleur de la famille éplorée. Mon mari Ass Wade, qui est resté constamment à mes côtés, nous a été d’un grand secours ainsi que les proches et les voisins», avance t-elle.
Au moment où les proches voulaient procéder à l’enterrement du jeune Pape Sy, la gendarmerie est intervenue pour s’y opposer. Le corps a été retourné à l’hôpital pour les besoins d’une autopsie sur ordre du délégué du procureur de la République, près le tribunal départemental de Pikine.
Ibrahima FALL (Zoominfo)
Accompagnée de mon mari, je l'ai conduit à l'hôpital de Keur Massar pour les premiers soins et c'était difficile, car le médecin a refusé mon accès sur les lieux, disant que la situation est très compliquée. Et puis, soudainement, il ordonna de l'acheminer à l'hôpital de Fann, car l'enfant gisait dans tout son sang qui continuait à couler. Ce qui l’exposait à une forte hémorragie".
Finalement, à Fann, le médecin n’a pas tardé à annoncer la triste et mauvaise nouvelle. Comme quoi, il a succombé à sa blessure. D'après les informations recueillies sur place, le présumé meurtrier se serait enfui et serait activement recherché par les pandores de la gendarmerie de Keur Massar. Une enquête a été ouverte pour déterminer la cause de la mort de Papa Sy.
Sa mère Maréme Sy s’en remet à la volonté divine. Néanmoins, elle reste inconsolable, surprise par la blessure fatale de son fils. «Il avait beaucoup de projets pour moi vu qu’il a perdu son père il y a de cela 2 ans et étant donné que j’appartiens à une famille très démunie.
Tous mes espoirs étaient placés en ce garçon dans ce contexte de conjoncture difficile. Soudeur de profession, il se battait sans relâche pour la prise en charge de la maison familiale», témoigne positivement Marème Sy qui, dans la foulée, a particulièrement adressé ses remerciements au maire de la commune de Keur Massar, en l’occurrence, Moustapha Mbengue.
«Le maire est venu à mon chevet avec un fort soutien en compatissant à la douleur de la famille éplorée. Mon mari Ass Wade, qui est resté constamment à mes côtés, nous a été d’un grand secours ainsi que les proches et les voisins», avance t-elle.
Au moment où les proches voulaient procéder à l’enterrement du jeune Pape Sy, la gendarmerie est intervenue pour s’y opposer. Le corps a été retourné à l’hôpital pour les besoins d’une autopsie sur ordre du délégué du procureur de la République, près le tribunal départemental de Pikine.
Ibrahima FALL (Zoominfo)